Guy Giron est l'ancien vigile de la supérette Jackpot, bien connue à Saint-Benoit, d'où il est originaire.
Ce grand costaud au crâne rasé a rencontré sa dernière compagne en 2010 à la porte du magasin où la malheureuse venait faire ses courses. Rassurée par la carrure et la gentillesse apparente de cet homme, elle était tombée sous le charme sans imaginer l'horreur qu'il allait lui faire vivre. À elle ainsi qu'à ses deux filles âgées au moment de la rencontre de 15 et 5 ans.
À cette époque, la compagne élevait seule sa progéniture dans sa maison du quartier bénédictin de Butor. Petit à petit, la relation était devenue un enfer. La compagne était prisonnière de son bourreau et ne sortait que lorsqu'elle était chaperonnée. Elle n'avait plus aucun droit et se retrouvait séquestrée chez elle.
Guy Giron est accusé d'avoir fait subir le même sort à ses deux belles-filles, prises en otage au domicile, puis battues et violées, comme leur mère. Les faits auraient duré sept années.
En 2017, celui qui a été surnommé "l'ogre de Saint-Benoit" avait été mis en examen et incarcéré le temps que se déroule la procédure qui le mène aujourd'hui dans le box des accusés de la cour d'assises pour la seconde fois de son existence.
En 1996, Guy Giron avait été condamné pour le meurtre de la mère de ses cinq enfants. Il avait écopé de 10 ans de réclusion pour lui avoir fracassé le crâne à coups de galets.
Il est jugé en récidive devant la cour d'assises à partir de ce mercredi matin et jusqu'à vendredi où le verdict est attendu dans la journée.
Parties Civiles : Me Marius Rakotonirina - Accusation : Domitille Descampiaux - Défense : Me Nicolas Normand
Ce grand costaud au crâne rasé a rencontré sa dernière compagne en 2010 à la porte du magasin où la malheureuse venait faire ses courses. Rassurée par la carrure et la gentillesse apparente de cet homme, elle était tombée sous le charme sans imaginer l'horreur qu'il allait lui faire vivre. À elle ainsi qu'à ses deux filles âgées au moment de la rencontre de 15 et 5 ans.
À cette époque, la compagne élevait seule sa progéniture dans sa maison du quartier bénédictin de Butor. Petit à petit, la relation était devenue un enfer. La compagne était prisonnière de son bourreau et ne sortait que lorsqu'elle était chaperonnée. Elle n'avait plus aucun droit et se retrouvait séquestrée chez elle.
Guy Giron est accusé d'avoir fait subir le même sort à ses deux belles-filles, prises en otage au domicile, puis battues et violées, comme leur mère. Les faits auraient duré sept années.
En 2017, celui qui a été surnommé "l'ogre de Saint-Benoit" avait été mis en examen et incarcéré le temps que se déroule la procédure qui le mène aujourd'hui dans le box des accusés de la cour d'assises pour la seconde fois de son existence.
En 1996, Guy Giron avait été condamné pour le meurtre de la mère de ses cinq enfants. Il avait écopé de 10 ans de réclusion pour lui avoir fracassé le crâne à coups de galets.
Il est jugé en récidive devant la cour d'assises à partir de ce mercredi matin et jusqu'à vendredi où le verdict est attendu dans la journée.
Parties Civiles : Me Marius Rakotonirina - Accusation : Domitille Descampiaux - Défense : Me Nicolas Normand