
Jeudi 23 mars, Jean-Fred Cazambo tombait sous les balles des frères C. et de Brice H.
Ce mardi, Brice H., 20 ans, a rejoint les frères C. et un complice à la maison d'arrêt de Domenjod. Tous ont été mis en examen pour l'assassinat de Jean-Fred Cazambo, un Saint-Andréen qui était un rival pour des raisons qui restent à préciser. Deux jours plus tôt, celui qui semble être le second tireur ayant procédé à l'exécution se trouvait cagoulé en compagnie de Dylan et de Jordan C. à bord de la 206.
Transféré dans les locaux de la section de recherches de la gendarmerie, il a été placé en garde à vue et aurait reconnu sa participation à l'expédition mortelle. Le jeudi 23 mars dernier, le commando armé et cagoulé avait patienté plusieurs heures à l'extérieur de la boite de nuit, guettant leur cible. A l'intérieur, Jean-Fred Cazambo était serré de près par un jeune homme de 20 ans qui était chargé d'informer le trio des faits et gestes de leur cible.
Transféré dans les locaux de la section de recherches de la gendarmerie, il a été placé en garde à vue et aurait reconnu sa participation à l'expédition mortelle. Le jeudi 23 mars dernier, le commando armé et cagoulé avait patienté plusieurs heures à l'extérieur de la boite de nuit, guettant leur cible. A l'intérieur, Jean-Fred Cazambo était serré de près par un jeune homme de 20 ans qui était chargé d'informer le trio des faits et gestes de leur cible.

Ce mardi, Brice H. est présenté à un juge d'instruction et se voit décerner un mandat de dépôt criminel
Ils se rendent à la gendarmerie pour menaces de mort
Quatre heures plus tard, le père de famille succombait à cinq tirs dont quatre l'ont mortellement touché. La 206 grise dans laquelle se trouvaient les auteurs présumés prenait la fuite avant d'être retrouvée brûlée un peu plus tard. De retour à leur domicile, les frères C. accueillis par un autre de leur frère avaient décidé de se rendre à la gendarmerie afin de se faire passer pour des victimes de menaces de mort de la part de Jean-Fred Cazambo. Le trio avait été entendu comme témoin avant que la mort de ce dernier ne soit annoncée. Ils avaient alors été interpellés et placés en garde à vue avant d'être considéréS comme les principaux suspects de cette affaire.
Le frère qui venait de métropole n'avait finalement pas été inquiété. De son côté, la taupe terrorisée par d'éventuelles représailles avait requis les forces de l'ordre afin qu'elles le récupèrent à son domicile. Le Saint-Andréen, tout juste majeur, aurait reconnu les faits au cours de ses auditions. Une centaine de messages le relieraient aux frères C; au cours de la funeste soirée. Ceux-ci auraient, pour l'heure, disparu de la téléphonie du suspect mais seraient d'un grand secours pour les suites de l'enquête qui pourrait révéler d'autres complicités dans la préparation de ce crime.
Quatre heures plus tard, le père de famille succombait à cinq tirs dont quatre l'ont mortellement touché. La 206 grise dans laquelle se trouvaient les auteurs présumés prenait la fuite avant d'être retrouvée brûlée un peu plus tard. De retour à leur domicile, les frères C. accueillis par un autre de leur frère avaient décidé de se rendre à la gendarmerie afin de se faire passer pour des victimes de menaces de mort de la part de Jean-Fred Cazambo. Le trio avait été entendu comme témoin avant que la mort de ce dernier ne soit annoncée. Ils avaient alors été interpellés et placés en garde à vue avant d'être considéréS comme les principaux suspects de cette affaire.
Le frère qui venait de métropole n'avait finalement pas été inquiété. De son côté, la taupe terrorisée par d'éventuelles représailles avait requis les forces de l'ordre afin qu'elles le récupèrent à son domicile. Le Saint-Andréen, tout juste majeur, aurait reconnu les faits au cours de ses auditions. Une centaine de messages le relieraient aux frères C; au cours de la funeste soirée. Ceux-ci auraient, pour l'heure, disparu de la téléphonie du suspect mais seraient d'un grand secours pour les suites de l'enquête qui pourrait révéler d'autres complicités dans la préparation de ce crime.
Quel est le mobile ? Y a-t-il d'autres complices ?
Car des complicités, il y en a eu notamment afin de se procurer des armes. Trois jours avant la tragédie, un Dionysien était interpellé avec sa compagne dans le quartier de Deux Canons. Le couple se trouvait à bord d'un véhicule qui contenait un fusil à pompe et du matériel qui pouvait correspondre à la préparation d'un crime. Particulièrement vigilants depuis l'assassinat sauvage de Brice Henriette survenu à Saint-André quelques jours plus tôt, les forces de l'ordre avaient pris cet élément très au sérieux. Placé en garde à vue, Antoine B., une vingtaine d'années, aurait indiqué que cette arme, cagoule et scotch type Chatterton avaient été commandés par des individus.
Ce lundi, le mis en cause a été placé en détention après sa mise en examen la semaine dernière pour association de malfaiteurs en vue de commettre un crime, les deux affaires étant vraisemblablement liées. Les investigations menées désormais par un juge d'instruction de Saint-Denis devront déterminer avec précision comment la mort de Jean-Fred Cazambo a été planifiée. Les protagonistes se fréquentaient ainsi que le démontrent différentes vidéos qui tournent sur les réseaux sociaux. Tous étaient très défavorablement connus de la justice.
Car des complicités, il y en a eu notamment afin de se procurer des armes. Trois jours avant la tragédie, un Dionysien était interpellé avec sa compagne dans le quartier de Deux Canons. Le couple se trouvait à bord d'un véhicule qui contenait un fusil à pompe et du matériel qui pouvait correspondre à la préparation d'un crime. Particulièrement vigilants depuis l'assassinat sauvage de Brice Henriette survenu à Saint-André quelques jours plus tôt, les forces de l'ordre avaient pris cet élément très au sérieux. Placé en garde à vue, Antoine B., une vingtaine d'années, aurait indiqué que cette arme, cagoule et scotch type Chatterton avaient été commandés par des individus.
Ce lundi, le mis en cause a été placé en détention après sa mise en examen la semaine dernière pour association de malfaiteurs en vue de commettre un crime, les deux affaires étant vraisemblablement liées. Les investigations menées désormais par un juge d'instruction de Saint-Denis devront déterminer avec précision comment la mort de Jean-Fred Cazambo a été planifiée. Les protagonistes se fréquentaient ainsi que le démontrent différentes vidéos qui tournent sur les réseaux sociaux. Tous étaient très défavorablement connus de la justice.