Le moins que l'on puisse dire est que Jacques de Chateauvieux en prend pour son grade dans la dernière livraison du Canard enchainé.
Le journal satirique rappelle que celui qui est connu pour être un des leaders de l'Opus Deï en France a un temps été la plus grosse fortune de l'outremer.
Mais le Canard révèle surtout certains côtés de la personnalité de celui qui fut par le passé patron des Sucreries de Bourbon, devenu par la suite Bourbon, mais aussi on a un peu tendance à l'oublier d'Antenne Réunion.
A écouter le journal, Jacques de Chateauvieux serait quelqu'un d'égoïste, imbu de sa personne, convaincu que Dieu guide ses pas et qu'il ne peut donc rien lui arriver, obnubilé par sa carrière et ne se préoccupant absolument pas du sort des 8.000 salariés de son groupe, après la faillite de sa société et sa reprise par les banques créancières.
Il faut quand même rappeler que celui que l'on présentait il n'y a encore pas si longtemps comme un brillant patron, a réussi à accumuler en quelques années 2,7 milliards d'euros de dettes au travers de son groupe !!!
Comme le dit le Canard, si les employés de Bourbon devaient se retrouver au chômage, malgré les belles promesses des repreneurs, "ils pourront toujours s'en remettre à la Providence"...
Le journal satirique rappelle que celui qui est connu pour être un des leaders de l'Opus Deï en France a un temps été la plus grosse fortune de l'outremer.
Mais le Canard révèle surtout certains côtés de la personnalité de celui qui fut par le passé patron des Sucreries de Bourbon, devenu par la suite Bourbon, mais aussi on a un peu tendance à l'oublier d'Antenne Réunion.
A écouter le journal, Jacques de Chateauvieux serait quelqu'un d'égoïste, imbu de sa personne, convaincu que Dieu guide ses pas et qu'il ne peut donc rien lui arriver, obnubilé par sa carrière et ne se préoccupant absolument pas du sort des 8.000 salariés de son groupe, après la faillite de sa société et sa reprise par les banques créancières.
Il faut quand même rappeler que celui que l'on présentait il n'y a encore pas si longtemps comme un brillant patron, a réussi à accumuler en quelques années 2,7 milliards d'euros de dettes au travers de son groupe !!!
Comme le dit le Canard, si les employés de Bourbon devaient se retrouver au chômage, malgré les belles promesses des repreneurs, "ils pourront toujours s'en remettre à la Providence"...