
Le patron des sociétés du groupe Arhès, André Bigot, a décidé de reprendre sa grève de la faim. Il l'avait entamée à la fin du mois d'août, sur le site de l'opération les Villas de Fremicourt, à la Plaine des Palmistes. En cause, le non rééchelonnement par le bailleur social, la SIDR, du paiement des opérations Juliette et Matisse.
Puis, lors d'une réunion, André Bigot soutenu par le collectif "Sauvons nos entreprises" avait obtenu de la SIDR un accord oral. Il avait ainsi décidé de stopper sa grève de la faim.
Revirement de situation ce jour. Selon nos informations, le protocole préparé par la SIDR ne correspondait plus aux engagements pris par les deux parties. André Bigot, accompagné d'une quarantaine de salariés du groupe, s'est donc présenté au siège de la SIDR.
Depuis la mi-journée, des échanges ont lieu mais aucune issue n'a encore été trouvée. Pis, alors qu'André Bigot décide de reprendre sa grève de la faim, l'un des portes-parole du collectif "Sauvons nos entreprises", Jean-Bernard Caroupaye - décidément sur tous les fronts -, menace de bloquer la rue de Paris, axe majeur du centre-ville de Saint-Denis, s'il ne sont pas reçus. Les salariés, quant à eux, demandent pourquoi les syndicats ne leur viennent pas en aide...
En attendant, parce que l'entrée de la SIDR donne sur la rue Félix Guyon, les forces de l'ordre ont décidé d'empêcher l'accès à cette voie par mesure de sécurité.
Puis, lors d'une réunion, André Bigot soutenu par le collectif "Sauvons nos entreprises" avait obtenu de la SIDR un accord oral. Il avait ainsi décidé de stopper sa grève de la faim.
Revirement de situation ce jour. Selon nos informations, le protocole préparé par la SIDR ne correspondait plus aux engagements pris par les deux parties. André Bigot, accompagné d'une quarantaine de salariés du groupe, s'est donc présenté au siège de la SIDR.
Depuis la mi-journée, des échanges ont lieu mais aucune issue n'a encore été trouvée. Pis, alors qu'André Bigot décide de reprendre sa grève de la faim, l'un des portes-parole du collectif "Sauvons nos entreprises", Jean-Bernard Caroupaye - décidément sur tous les fronts -, menace de bloquer la rue de Paris, axe majeur du centre-ville de Saint-Denis, s'il ne sont pas reçus. Les salariés, quant à eux, demandent pourquoi les syndicats ne leur viennent pas en aide...
En attendant, parce que l'entrée de la SIDR donne sur la rue Félix Guyon, les forces de l'ordre ont décidé d'empêcher l'accès à cette voie par mesure de sécurité.