
"Suite à la demande d'audience formulée par le conseil CFTC pour le 27 décembre, la présidente du conseil général dans un courrier daté du 27 décembre marque son accord pour une audience en présence de maitre Belot avocat du CG.
Mais compte tenu des vacances de ce dernier, cette audience se tiendra vers mi janvier 2012. Les grévistes font la déclarations suivante: nous resterons toute le temps qu'il faudra.
Le Conseil général voudrait nous faire baisser la garde , esperant affaiblir notre détermination. Nous ne sommes pas dupes de la manoeuvre du conseil général.
Ce report au 15 janvier est une non assistance à personne en danger, comme si le conseil général cherchait l'explosion sociale.
Nous sommes dans une situation d'urgence sociale et la responsabilité politique exige une solution politique du conseil général.
Il est inadmissible que le conseil général privilégie le confort et les vacances de certain, au détriment de la santé des grévistes et faisant abstraction de la détresse et de la situation de grande précarité des 700 familles toujours en attente d'un jugement.
Compte tenu des possibilités des nouvelles technologies, nous demandons que cette audience se tienne en télé conférence dans les délais les plus proches."
Mais compte tenu des vacances de ce dernier, cette audience se tiendra vers mi janvier 2012. Les grévistes font la déclarations suivante: nous resterons toute le temps qu'il faudra.
Le Conseil général voudrait nous faire baisser la garde , esperant affaiblir notre détermination. Nous ne sommes pas dupes de la manoeuvre du conseil général.
Ce report au 15 janvier est une non assistance à personne en danger, comme si le conseil général cherchait l'explosion sociale.
Nous sommes dans une situation d'urgence sociale et la responsabilité politique exige une solution politique du conseil général.
Il est inadmissible que le conseil général privilégie le confort et les vacances de certain, au détriment de la santé des grévistes et faisant abstraction de la détresse et de la situation de grande précarité des 700 familles toujours en attente d'un jugement.
Compte tenu des possibilités des nouvelles technologies, nous demandons que cette audience se tienne en télé conférence dans les délais les plus proches."