
Le 1er janvier, ce jeune portois de 21 ans avait été pris en chasse par la police, en une folle course-poursuite à moto, en compagnie d'un copain, qui, lui, avait été interpellé et condamné à de la prison ferme le 6 janvier. Une condamnation qui le met en colère: "maintenant, quand on fait du cross, on va en prison", écrit-il sur Snapchat. Seulement, il n'en reste pas là, et bientôt, profère des menaces de mort, écrites sur ce même réseau, contre ceux qui ont interpellé son ami.
""Ne croyez pas que parce que vous travaillez dans la police, on ne peut pas vous traquer", écrit-il, avant d'ajouter qu'on peut "sortir les balles", et enfin de menacer aussi la famille des policiers: "pensez bien à votre famille, à votre voiture et à vous.". Des menaces qui ne passent pas pour la procureure, qui n'aura pas de mot assez fort pour les condamner, et la mènent à requérir 18 mois de prison ferme contre le jeune homme.
L'adepte de rodéos ayant un passé judiciaire chargé avec 7 condamnations au compteur, dont une pour violences sur personne dépositaire de l'autorité publique, le tribunal l'a condamné à 12 mois de prison ferme, auxquels s'ajoute la révocation de 4 mois de sursis.
""Ne croyez pas que parce que vous travaillez dans la police, on ne peut pas vous traquer", écrit-il, avant d'ajouter qu'on peut "sortir les balles", et enfin de menacer aussi la famille des policiers: "pensez bien à votre famille, à votre voiture et à vous.". Des menaces qui ne passent pas pour la procureure, qui n'aura pas de mot assez fort pour les condamner, et la mènent à requérir 18 mois de prison ferme contre le jeune homme.
L'adepte de rodéos ayant un passé judiciaire chargé avec 7 condamnations au compteur, dont une pour violences sur personne dépositaire de l'autorité publique, le tribunal l'a condamné à 12 mois de prison ferme, auxquels s'ajoute la révocation de 4 mois de sursis.