Dans un long communiqué le 18 septembre, l’élu de 32 ans évoquait notamment « des disputes » depuis l’annonce par sa femme de sa volonté de divorcer, précisant par exemple lui avoir « saisi le poignet » au cours de l’une d’elles. Il admettait aussi lui avoir « donné une gifle dans un contexte d’extrême tension et d’agressivité mutuelle ». Une gifle et des textos lui valent d’être convoqué le 13 décembre prochain devant le procureur de la République de Lille dans le cadre de la procédure de comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC).
Des déclarations qui, selon l’entourage du député interviennent « dans le cadre d’une procédure de divorce à l’amiable mais qui n’avance pas, avec des demandes exorbitantes de Madame Quatennens en matière de compensations et de garde d’enfant ». L’avocat du trentenaire poursuit en dénonçant à son tour « des accusations mensongères qu’il dément absolument ».
Adrien Quatennens attend désormais la décision de justice du mois prochain à la suite de laquelle son parti décidera de l’avenir de son poulain.