« Je comprends la déception de certains à qui sous la précédente mandature on avait pris la décision de reconduire des contrats à vie. C’est une bombe à retardement qu’on nous a laissé », regrette Patrice Selly, qui « ne reculera pas devant ceux qui communiquent par la violence ». « Envers ceux que la nature a doté de gros bras, à ceux qui pensent pouvoir marcher sur leurs collègues voire même le maire, le règne de la terreur est terminé ».
Une plainte a été déposée et une protection fonctionnelle a été accordée aux victimes de ces menaces.