
Les bleus de mon âme sont les bleus de mon corps,
Et mon corps souffre des blessures de mon âme,
Ma sensibilité reste mon plus grand drame,
Ma tristesse masque la beauté du décor
Et m’entraîne dans la déroute de mon corps.
Je ne sais que dire et que faire, mon corps rame
Puis, je me dilue au plus profond de mon drame,
Je ne suis plus alors qu’un pion dans le décor.
Donnez-moi de l’amour, aussi, beaucoup de flamme
Pour me cicatriser le corps et surtout l’âme
Me faire retrouver la beauté du décor.
Que le bonheur m’emporte heureux loin des miasmes,
Qu’il réveille en moi toute cette joie qui dort
Et me redonne enfin un goût d’enthousiasme
MAX FAUVETTE.
5 mai 2008
Et mon corps souffre des blessures de mon âme,
Ma sensibilité reste mon plus grand drame,
Ma tristesse masque la beauté du décor
Et m’entraîne dans la déroute de mon corps.
Je ne sais que dire et que faire, mon corps rame
Puis, je me dilue au plus profond de mon drame,
Je ne suis plus alors qu’un pion dans le décor.
Donnez-moi de l’amour, aussi, beaucoup de flamme
Pour me cicatriser le corps et surtout l’âme
Me faire retrouver la beauté du décor.
Que le bonheur m’emporte heureux loin des miasmes,
Qu’il réveille en moi toute cette joie qui dort
Et me redonne enfin un goût d’enthousiasme
MAX FAUVETTE.
5 mai 2008