
Antoine Fontaine leader du C.mac (Collectif pour le maintien des activités au cœur de la Réunion), a, ce jeudi, annoncé sa candidature dans la troisième circonscription pour ces législatives.
L’homme de 40 ans, originaire du Tampon, a notamment exercé à la Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris avant, en 2003, de rejoindre en tant que collaborateur parlementaire l’équipe d’André Thien Ah Koon alors député. L'inéligibilité de ce dernier a mis un terme à quatre années "d’une expérience enrichissante".
De retour à La Réunion, après un passage au Parc National, Antoine Fontaine a à coeur de "prendre en compte l’homme comme partie intégrante de la biodiversité" en suivant le chemin tracé par Jean Lassalle. Il accompagnera ainsi, celui qu'il considère comme son ami, à porter bénévolement le texte sur la reconquête de la biodiversité ou la loi montagne.
Pour autant, s’il tente aujourd’hui de décrocher ce premier mandat, c'est "libre et sans appareil municipal", insiste-t-il. Son objectif : opérer "un travail des consciences".
Le contexte politique particulier et les scores lors de cette présidentielle l’ont interpellé. Le candidat souhaite donc s’adresser aux déçus de la politique. "Nous avons l’impression que la classe politique court après quelque chose et somme tout le monde de courir derrière elle", constate le leader du C.mac. Il propose donc d’intégrer la notion de "bonheur" dans "un système où l’argent domine tout".
Son programme, tout comme la personne qui va le suppléer dans sa mission, reste pour le moment à déterminer. "C’est difficile de trouver. Malgré les principes de parité rien n’est vraiment mis en place pour permettre aux femmes de s’engager en politique". Son choix sur l'homme ou la femme, qui partagera sa démarche et en qui il aurait totalement confiance, n’est pas encore arrêté.
L’homme de 40 ans, originaire du Tampon, a notamment exercé à la Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris avant, en 2003, de rejoindre en tant que collaborateur parlementaire l’équipe d’André Thien Ah Koon alors député. L'inéligibilité de ce dernier a mis un terme à quatre années "d’une expérience enrichissante".
De retour à La Réunion, après un passage au Parc National, Antoine Fontaine a à coeur de "prendre en compte l’homme comme partie intégrante de la biodiversité" en suivant le chemin tracé par Jean Lassalle. Il accompagnera ainsi, celui qu'il considère comme son ami, à porter bénévolement le texte sur la reconquête de la biodiversité ou la loi montagne.
Pour autant, s’il tente aujourd’hui de décrocher ce premier mandat, c'est "libre et sans appareil municipal", insiste-t-il. Son objectif : opérer "un travail des consciences".
Le contexte politique particulier et les scores lors de cette présidentielle l’ont interpellé. Le candidat souhaite donc s’adresser aux déçus de la politique. "Nous avons l’impression que la classe politique court après quelque chose et somme tout le monde de courir derrière elle", constate le leader du C.mac. Il propose donc d’intégrer la notion de "bonheur" dans "un système où l’argent domine tout".
Son programme, tout comme la personne qui va le suppléer dans sa mission, reste pour le moment à déterminer. "C’est difficile de trouver. Malgré les principes de parité rien n’est vraiment mis en place pour permettre aux femmes de s’engager en politique". Son choix sur l'homme ou la femme, qui partagera sa démarche et en qui il aurait totalement confiance, n’est pas encore arrêté.