Un retour à “la vie d’avant”, sans masque, sans pass, et sans restrictions. C'est la revendication des organisateurs du "convoi de la liberté" qui a démarré ce samedi dans le Nord de l'île.
Près de 150 personnes se sont retrouvées à Sainte-Marie pour ce mouvement d'ampleur internationale baptisé à La Réunion "karavane liberté 974". Sous l'escorte de la gendarmerie, le convoi, composé de près de 90 véhicules, a pris la route avec pour objectif de passer devant l'ARS et la mairie du chef-lieu. Il se dirigera ensuite vers l'Ouest et descendra dans le Sud, jusqu'à atteindre Saint-Joseph. Des ralentissements sont à prévoir
La mobilisation se poursuivra ce dimanche, au départ de Saint-Pierre. La "karavane" prendra cette fois la direction de l'Est pour arriver à Saint-Denis. .
Ce mouvement, auto-proclamé "convoi de la liberté", est parti de la grogne des camionneurs contre l'obligation vaccinale imposée pour franchir la frontière entre le Canada et les États-Unis avant de s'étendre à d'autres revendications contre la politique gouvernementale. L'idée s'est ensuite exportée. Dans l'Hexagone, des convois anti-pass et anti-Macron ont pris la direction de Paris, malgré leur interdiction.
Près de 150 personnes se sont retrouvées à Sainte-Marie pour ce mouvement d'ampleur internationale baptisé à La Réunion "karavane liberté 974". Sous l'escorte de la gendarmerie, le convoi, composé de près de 90 véhicules, a pris la route avec pour objectif de passer devant l'ARS et la mairie du chef-lieu. Il se dirigera ensuite vers l'Ouest et descendra dans le Sud, jusqu'à atteindre Saint-Joseph. Des ralentissements sont à prévoir
La mobilisation se poursuivra ce dimanche, au départ de Saint-Pierre. La "karavane" prendra cette fois la direction de l'Est pour arriver à Saint-Denis. .
Ce mouvement, auto-proclamé "convoi de la liberté", est parti de la grogne des camionneurs contre l'obligation vaccinale imposée pour franchir la frontière entre le Canada et les États-Unis avant de s'étendre à d'autres revendications contre la politique gouvernementale. L'idée s'est ensuite exportée. Dans l'Hexagone, des convois anti-pass et anti-Macron ont pris la direction de Paris, malgré leur interdiction.

Photo : Pierre Marchal, Anakaopress

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