
Suite à notre article de ce matin (voir "Nassimah Dindar et Paul Vergès pris en flangant délit de bourrage d'urnes "), Eric Fontaine, le rédacteur en chef d'Antenne Réunion, a décidé de retirer purement et simplement le sondage visant à désigner "la personnalité qui a marqué 2012" du site de Linfo.re.
Dans un communiqué publié sur le site, il justifie sa décision par le fait que, "de toute évidence, les résultats ne seront pas le reflet du choix des Réunionnais". "Nous avons fait le constat que pour certaines personnalités, il y a un vote automatique qui se met en place par un système de robots. J’estime que cela fausse les résultats de ce sondage qui a été créé pour les Réunionnais. L’objectif était de donner la parole au plus grand nombre pour élire la personnalité préférée des Réunionnais en 2012. Ce ne sont pas aux machines de voter, les résultats sont clairement erronés" explique Eric Fontaine.
Sans citer explicitement leurs noms, Antenne Réunion confirme donc bien que Nassimah Dindar et Paul Vergès ont essayé de frauder, puisque ce sont ces deux personnalités que nous avions pointé du doigt ce matin en démontrant que les milliers de votes qui s'étaient portés sur leurs noms pendant la nuit ne pouvaient pas être le fait d'un vote "normal".
Dans un communiqué publié sur le site, il justifie sa décision par le fait que, "de toute évidence, les résultats ne seront pas le reflet du choix des Réunionnais". "Nous avons fait le constat que pour certaines personnalités, il y a un vote automatique qui se met en place par un système de robots. J’estime que cela fausse les résultats de ce sondage qui a été créé pour les Réunionnais. L’objectif était de donner la parole au plus grand nombre pour élire la personnalité préférée des Réunionnais en 2012. Ce ne sont pas aux machines de voter, les résultats sont clairement erronés" explique Eric Fontaine.
Sans citer explicitement leurs noms, Antenne Réunion confirme donc bien que Nassimah Dindar et Paul Vergès ont essayé de frauder, puisque ce sont ces deux personnalités que nous avions pointé du doigt ce matin en démontrant que les milliers de votes qui s'étaient portés sur leurs noms pendant la nuit ne pouvaient pas être le fait d'un vote "normal".