Revenir à la rubrique : Océan Indien

Annick Girardin fait le point sur le Plan de développement de Mayotte 1 an après

Annick Girardin a posé le pied ce dimanche matin  à Mayotte. La ministre des Outre-mer est venue se rendre compte des avancées du plan de développement de Mayotte lancé en mai 2018 après des semaines de mobilisation de la population contre l’insécurité et l’immigration clandestine. Lors de ses premiers échanges avec les forces vives locales […]

Ecrit par Zinfos974 – le dimanche 21 avril 2019 à 15H34

Annick Girardin a posé le pied ce dimanche matin  à Mayotte. La ministre des Outre-mer est venue se rendre compte des avancées du plan de développement de Mayotte lancé en mai 2018 après des semaines de mobilisation de la population contre l’insécurité et l’immigration clandestine.

Lors de ses premiers échanges avec les forces vives locales ce dimanche matin à Pamandzi, elle a rappelé que « si les Mahorais ont été oubliés toutes ces années, ce n’est plus le cas depuis que je suis là”. Annick Girardin en est à son troisième déplacement dans le 101ème département français.

Le 13 mai 2018, la ministre était venue présenter le plan de développement de Mayotte après deux mois de paralysie à Mayotte. « J’ai voulu des engagements fermes, concrets, précis, inscrits dans le réel, numérotés, financés, arbitrés au plus haut niveau », avait-t-elle déclaré. Le plan de rattrapage et de développement du département est un plan global, qui concerne l’ensemble des problématiques qui touchent Mayotte : sécurité, justice et immigration, santé, protection sociale, éducation et formation, logement, infrastructures, économie, fonctionnement des collectivités et relations à l’Etat. Il comprend 53 engagements regroupant 125 actions.

Après l’accueil populaire à sa descente d’avion, la ministre s’est ensuite rendue au Régiment du Service Militaire Adapté (RSMA) qui organise ses Journées portes-ouvertes jusqu’à ce dimanche soir.

Elle doit ensuite présenter le bilan du fameux Plan d’avenir pour Mayotte après un an de mise en oeuvre.

 

Thèmes :
Message fin article

Avez-vous aimé cet article ?

Partagez-le sans tarder sur les réseaux sociaux, abonnez-vous à notre Newsletter,
et restez à l'affût de nos dernières actualités en nous suivant sur Google Actualités.

Pour accéder à nos articles en continu, voici notre flux RSS : https://www.zinfos974.com/feed
Une meilleure expérience de lecture !
nous suggérons l'utilisation de Feedly.

S’abonner
Notification pour
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires

Dans la même rubrique

COI : Atelier de consultation sur la sécurité portuaire à Madagascar

La Commission de l’océan Indien a organisé une consultation nationale sur la sécurité portuaire et la sûreté de la navigation à Madagascar. Accueillie par le ministère des Affaires étrangères, cette consultation a notamment permis de définir des mesures concrètes afin d’améliorer la surveillance maritime et renforcer la collaboration entre les pays de la région. En présence de six ministres, les équipes de la COI ont pu instaurer une compréhension complète des progrès et des défis dans la mise en œuvre des activités du PSP.

« Il faut peut-être en tuer » : Le vice-président du Département de Mayotte condamné à 3 mois de prison avec sursis

Salime Mdéré était jugé pour avoir déclaré en direct sur une chaîne de télévision publique mahoraise « Il faut peut-être en tuer » au sujet des délinquants qui affrontaient la police lors de l’opération Wuambushu. Trois mois de prison avec sursis et 5.000 euros d’amende avaient été requis. Le tribunal a décidé d’aller au-delà des réquisitions et le condamner à trois mois de prison et 10.000 euros d’amende pour provocation publique.

L’aire marine protégée des Chagos ravive l’espoir d’un retour au pays pour les derniers déportés

À l’origine imaginée pour sanctuariser la zone et empêcher le retour de la population déportée il y a cinquante ans, le projet d’aire maritime protégée britannique dans l’archipel des Chagos inclut désormais un espace dédié à l’habitat, sur les îles de Peros Banhos et Salomon. De quoi nourrir l’espoir d’un retour au pays pour les quelque 500 Chagossiens encore vivants, qui rêvent d’y séjourner et d’y mourir en paix.