

Tout d'abord, l'avant-centre revient sur l'ambiance au sein du groupe : "Si ce n'était pas par moi que tout s'était précipité, cela serait arrivé par quelqu'un d'autre. Ça devait exploser". Revenant sur l'épisode dit de la "grève", Nicolas Anelka, même s'il n'était pas présent dans le bus français, assure que "tout le monde, je dis bien tout le monde, était solidaire", ajoutant que "s'il y avait des joueurs qui voulaient s'entraîner, qu'ils parlent maintenant. Mais je suis certain à 100% que personne ne le fera".
"Lizarazu, c'est qui ?"
L'ancien joueur du Paris-Saint-Germain revient également sur les propos de Jérémy Toulalan, considéré comme appartenant au "clan" Gourcuff-Lloris, et qui avait pourtant déclaré qu'il avait participé à l'écriture de la lettre lue par Raymond Domenech. "Il faut une forme de courage et un gros mental pour assumer cela. Je suis fier d'avoir joué avec lui et avec toute l'équipe de France. Jérémy est un joueur de caractère, il l'avait prouvé en critiquant France 98, il vient à nouveau de le démontrer".
Concernant les anciens de 98, Nicolas Anelka en écorche un au passage. Très critique avec les Bleus sur TF1, où il est consultant, Bixente Lizarazu est dans la ligne de mire du buteur de Chelsea : "Lizarazu, c'est qui ? Lorsqu'il parle et qu'on l'écoute, on a l'impression d'entendre une légende vivante. C'est juste un ancien joueur en manque de reconnaissance, frustré de la reconversion réussie de ses potes girondins Zidane et Dugarry. (...) Tout ce qu'il a trouvé comme reconversion, c'est le torpillage. Mais ça, la terre entière sait le faire. A-t-il oublié qu'il était à la Coupe du monde 2002 ? Je n'avais pas été retenu dans la liste mais je m'étais abstenu de tout commentaire. Jamais je ne me serais permis de tailler ainsi. (...) Qu'il arrête de parler de respect : on a tous en mémoire la gifle adressée à son capitaine au Bayern Munich..."
Hier, la Fifa a publié son dernier classement : la France est 21ème.