
Face à la pression de la communauté internationale qui souhaite ne pas le voir briguer la présidentielle (ainsi que Didier Ratsiraka et Lalao Ravalomanana), Andry Rajoelina tient bon. Le président de la Transition, silencieux depuis quelques jours, est sorti de sa réserve et a vivement critiqué ses détracteurs.
Il reproche à ces derniers, et plus particulièrement à la communauté internationale, de vouloir "confisquer le droit aux Malgaches de choisir ses leurs dirigeants", comme le rapporte L'Express de Madagascar.
Andry Rajoelina ajoute que les candidatures des trois candidats décriés par la communauté internationale représentent environ "60 à 70% des votants". Selon lui, interdire au trio Rajoelina-Ratsiraka-Ravalomanana de se présenter au prochain scrutin présidentiel provoquerait un désistement massif de la part des électeurs, ce qui décrédibiliserait le vainqueur de la présidentielle.
Il a par ailleurs énoncé sa vision de la démocratie, qui est selon lui, "le droit de chaque citoyen à choisir celui ou celle qui dirigera son pays, sans exclusion".
Il reproche à ces derniers, et plus particulièrement à la communauté internationale, de vouloir "confisquer le droit aux Malgaches de choisir ses leurs dirigeants", comme le rapporte L'Express de Madagascar.
Andry Rajoelina ajoute que les candidatures des trois candidats décriés par la communauté internationale représentent environ "60 à 70% des votants". Selon lui, interdire au trio Rajoelina-Ratsiraka-Ravalomanana de se présenter au prochain scrutin présidentiel provoquerait un désistement massif de la part des électeurs, ce qui décrédibiliserait le vainqueur de la présidentielle.
Il a par ailleurs énoncé sa vision de la démocratie, qui est selon lui, "le droit de chaque citoyen à choisir celui ou celle qui dirigera son pays, sans exclusion".