Après sa condamnation ce vendredi à six mois de prison avec sursis dans l’affaire de l’Amicale du personnel, Jean-Paul Virapoullé, a pris acte de la décision du tribunal administratif.
Dans un communiqué publié quelques heures après le verdict, le maire de Saint-André tient à rappeler que le motif de "négligence", pour lequel la justice l’a condamné, "n’est en rien infamant".
"Dans ces conditions à la réception du jugement dans les jours à venir, j’analyserai l’utilité de faire appel ou pas et j’en informerai l’opinion publique", indique JPV.
Le premier édile saint-andréen tacle au passage ses opposants, qui souhaitaient le voir être "sanctionné" pour "détournement de fonds publics, prise illégale d’intérêt et immixtion dans la fonction publique".
Des motifs qui "n'ont pas été retenus, par le juge d’instruction, ni par le Procureur de la République et encore moins par le Tribunal", termine-t-il.
Dans un communiqué publié quelques heures après le verdict, le maire de Saint-André tient à rappeler que le motif de "négligence", pour lequel la justice l’a condamné, "n’est en rien infamant".
"Dans ces conditions à la réception du jugement dans les jours à venir, j’analyserai l’utilité de faire appel ou pas et j’en informerai l’opinion publique", indique JPV.
Le premier édile saint-andréen tacle au passage ses opposants, qui souhaitaient le voir être "sanctionné" pour "détournement de fonds publics, prise illégale d’intérêt et immixtion dans la fonction publique".
Des motifs qui "n'ont pas été retenus, par le juge d’instruction, ni par le Procureur de la République et encore moins par le Tribunal", termine-t-il.