Après les vagues de chaleur extrêmes au Canada, en Espagne et au Pakistan, après des années de sécheresse qui provoque la famine dans le sud malgache, après les glissements de terrain meurtriers au Japon, de terribles inondations consécutives à des pluies diluviennes ont dévasté des régions entières, en Allemagne, en Belgique et en Chine avec un lourd bilan humain et matériel.
Phénomènes totalement inhabituels, ces inondations sont directement imputables au réchauffement climatique. Depuis plusieurs décennies, les scientifiques nous alertent sur l’impact du réchauffement du climat sur le cycle de l’eau : nous en avons aujourd’hui, malheureusement, la preuve concrète. Plus l’atmosphère se réchauffe, plus elle a la capacité de contenir de l’eau et donc, par conséquent, de la rejeter sous forme de précipitations extrêmes.
Hubert Julien-Laferrière, député du Rhône et porte-parole national de Génération Écologie le rappelle : dès 1990, les experts du GIEC nous prévenaient : ces phénomènes extraordinaires et destructeurs, inondations ou vagues de chaleur, allaient se multiplier sous l’effet de la hausse des émissions de gaz à effet de serre. Las, ils n’ont jamais été entendus par nos dirigeants : les politiques menées depuis plus de trente ans sont toujours plus productivistes, toujours plus consuméristes, et donc, au final, toujours plus destructrices.
Et pendant ce temps, cette semaine, le parlement français a définitivement adopté le projet de loi Climat et résilience. Pour l’ancienne ministre Delphine Batho, députée des Deux-Sèvres, nouvelle coordinatrice nationale de Génération Ecologie et candidate à la primaire des écologistes, cette pseudo loi climat tourne le dos aux propositions de la Convention Citoyenne pour le Climat et s’assoit sur l’avis du Haut Conseil pour le Climat.
Pourtant ces cataclysmes nous montre combien il y a urgence à repenser nos modes de production et de consommation, dans le respect des limites planétaires et pour la sauvegarde du climat et du vivant. Cela est surtout vrai pour La Réunion, territoire particulièrement vulnérable face au risque climatique. La décroissance de la consommation d’énergie et de matière n’est pas une option : elle doit, dès maintenant, être au cœur de toutes nos politiques publiques.
Vincent Defaud, membre du Conseil Exécutif de Génération Ecologie, chargé des Outre-mer, Référent Génération Ecologie La Réunion
Phénomènes totalement inhabituels, ces inondations sont directement imputables au réchauffement climatique. Depuis plusieurs décennies, les scientifiques nous alertent sur l’impact du réchauffement du climat sur le cycle de l’eau : nous en avons aujourd’hui, malheureusement, la preuve concrète. Plus l’atmosphère se réchauffe, plus elle a la capacité de contenir de l’eau et donc, par conséquent, de la rejeter sous forme de précipitations extrêmes.
Hubert Julien-Laferrière, député du Rhône et porte-parole national de Génération Écologie le rappelle : dès 1990, les experts du GIEC nous prévenaient : ces phénomènes extraordinaires et destructeurs, inondations ou vagues de chaleur, allaient se multiplier sous l’effet de la hausse des émissions de gaz à effet de serre. Las, ils n’ont jamais été entendus par nos dirigeants : les politiques menées depuis plus de trente ans sont toujours plus productivistes, toujours plus consuméristes, et donc, au final, toujours plus destructrices.
Et pendant ce temps, cette semaine, le parlement français a définitivement adopté le projet de loi Climat et résilience. Pour l’ancienne ministre Delphine Batho, députée des Deux-Sèvres, nouvelle coordinatrice nationale de Génération Ecologie et candidate à la primaire des écologistes, cette pseudo loi climat tourne le dos aux propositions de la Convention Citoyenne pour le Climat et s’assoit sur l’avis du Haut Conseil pour le Climat.
Pourtant ces cataclysmes nous montre combien il y a urgence à repenser nos modes de production et de consommation, dans le respect des limites planétaires et pour la sauvegarde du climat et du vivant. Cela est surtout vrai pour La Réunion, territoire particulièrement vulnérable face au risque climatique. La décroissance de la consommation d’énergie et de matière n’est pas une option : elle doit, dès maintenant, être au cœur de toutes nos politiques publiques.
Vincent Defaud, membre du Conseil Exécutif de Génération Ecologie, chargé des Outre-mer, Référent Génération Ecologie La Réunion