Parmi les 11.000 candidats inscrits au baccalauréat cette année, il y a en a un qui a révisé dur. A la veille du coup d’envoi, Alex Ramin ne montrait aucun signe de stress. "Je pars confiant", nous a-t-il assuré. Le Saint-Josephois est bien déterminé à réussir les épreuves cette fois-ci.
A 47 ans, Alex Ramin n’a en effet jamais abandonné l’idée d’avoir son bac. Près de vingt ans après l’avoir raté deux fois au lycée Amiral Bouvet de Saint-Benoît, le quadragénaire signe son retour dans les salles de cours en tant que candidat libre. Une fois de plus, en filière L.
Il l’avoue, "les langues, et notamment le latin", ne sont pas son fort. Le bachelier mise davantage sur les deux matières -à fort coefficient- qui le passionnent, la philosophie et la littérature.
Pourquoi tient-il tant à décrocher ce diplôme aujourd’hui ? Le demandeur d'emploi reste succinct sur ses motivations : 'Je le fais par satisfaction personnelle'. Une initiative pleinement soutenue par ses proches. "Ils n’en pensent que du bien", conclut-il.
Les résultats seront connus le 7 juillet prochain.
A 47 ans, Alex Ramin n’a en effet jamais abandonné l’idée d’avoir son bac. Près de vingt ans après l’avoir raté deux fois au lycée Amiral Bouvet de Saint-Benoît, le quadragénaire signe son retour dans les salles de cours en tant que candidat libre. Une fois de plus, en filière L.
Il l’avoue, "les langues, et notamment le latin", ne sont pas son fort. Le bachelier mise davantage sur les deux matières -à fort coefficient- qui le passionnent, la philosophie et la littérature.
Pourquoi tient-il tant à décrocher ce diplôme aujourd’hui ? Le demandeur d'emploi reste succinct sur ses motivations : 'Je le fais par satisfaction personnelle'. Une initiative pleinement soutenue par ses proches. "Ils n’en pensent que du bien", conclut-il.
Les résultats seront connus le 7 juillet prochain.