Tom Enders, patron d’Airbus, tente de remédier à la mauvaise passe du groupe en décidant de concrétiser son plan de réduction des coûts. Selon la presse anglo-saxonne, de nombreux postes au sein de l’avionneur européen seront supprimés.
La presse spécialisée précise que si la suppression de postes est "inévitable", elle devrait concerner l’encadrement, les fonctions supports telles la communication et la publicité ainsi que les hauts postes du groupe sans toute fois recourir à un plan social. Cette réduction des coûts devrait toucher les trois divisions que sont Airbus, Airbus Défense et Airbus Helicopter.
A son arrivée à la tête de l’ancien EADS en 2012, l’ancien officier parachutiste a annoncé un plan de réorganisation. En interne, deux avions du groupe sont visés. Le gros porteur A380, capable d’emmener 700 voyageurs, ne se vend pas aussi bien que prévu. Une réduction de la cadence de production devrait s’effectuer en 2018.
Désormais, un seul mastodonte devrait sortir des chaînes de montage contre deux actuellement. Les plus avisés des journaux spécialisés avancent même que l’ A380 pourrait être abandonné, à terme.
De son côté, le 400M pèse trop lourd financièrement. L’avion de transport de troupes a accumulé un retard de dix ans et un surcoût de six milliards d’euros sur le budget initial de vingt milliards.
Airbus a, cependant, toujours officiellement défendu ses deux avions. Les semaines à venir seront décisives pour le concurrent de l’américain Boeing. Actuellement, l’avionneur américain traverse, lui aussi, une zone de turbulence.
La presse spécialisée précise que si la suppression de postes est "inévitable", elle devrait concerner l’encadrement, les fonctions supports telles la communication et la publicité ainsi que les hauts postes du groupe sans toute fois recourir à un plan social. Cette réduction des coûts devrait toucher les trois divisions que sont Airbus, Airbus Défense et Airbus Helicopter.
A son arrivée à la tête de l’ancien EADS en 2012, l’ancien officier parachutiste a annoncé un plan de réorganisation. En interne, deux avions du groupe sont visés. Le gros porteur A380, capable d’emmener 700 voyageurs, ne se vend pas aussi bien que prévu. Une réduction de la cadence de production devrait s’effectuer en 2018.
Désormais, un seul mastodonte devrait sortir des chaînes de montage contre deux actuellement. Les plus avisés des journaux spécialisés avancent même que l’ A380 pourrait être abandonné, à terme.
De son côté, le 400M pèse trop lourd financièrement. L’avion de transport de troupes a accumulé un retard de dix ans et un surcoût de six milliards d’euros sur le budget initial de vingt milliards.
Airbus a, cependant, toujours officiellement défendu ses deux avions. Les semaines à venir seront décisives pour le concurrent de l’américain Boeing. Actuellement, l’avionneur américain traverse, lui aussi, une zone de turbulence.