L’enquête ouverte en mai dernier pour agressions et harcèlement sexuels visant le député écologiste Denis Baupin a été classée sans suite "pour prescription". Médiapart et France Inter avaient dévoilé les révélations de huit femmes, quatre anonymes et quatre élues écologistes, dont trois qui avaient déposé plainte. Ce mouvement avait encouragé d’autres femmes à témoigner par la suite.
Dans un communiqué, le procureur de la République, François Molins, a affirmé : "Il apparaît que les faits dénoncés (...) sont pour certains d'entre eux susceptibles d'être qualifiés pénalement. Ils sont cependant prescrits". La plupart des faits sont frappés par le délai de prescription de 3 ans.
Seuls les faits dénoncés par la députée Isabelle Attard entre dans le timing mais le "harcèlement quasi quotidien de SMS provocateurs, salaces" entre 2012 et 2013 était caractérisé de "séduction réciproque ou de jeu" par Denis Baupin.
Dans un communiqué, le procureur de la République, François Molins, a affirmé : "Il apparaît que les faits dénoncés (...) sont pour certains d'entre eux susceptibles d'être qualifiés pénalement. Ils sont cependant prescrits". La plupart des faits sont frappés par le délai de prescription de 3 ans.
Seuls les faits dénoncés par la députée Isabelle Attard entre dans le timing mais le "harcèlement quasi quotidien de SMS provocateurs, salaces" entre 2012 et 2013 était caractérisé de "séduction réciproque ou de jeu" par Denis Baupin.