Le jeudi 4 septembre 2008, j’attendais ma copine sur le parking du Carrefour de Saint Denis. Cette grande surface fermant ses portes à 20h30, je me tenais donc devant la grille d’entrée refermée.
Vers 20h40, une Clio immatriculée 8.. B.. 974 vint se garer de l’autre coté de l’entrée. C’était un maitre chien de (Le nom de la société a été effacé par Pierrot Dupuy), qui venait prendre son service.
Il pleuvait, et j’étais donc venu prés des grilles avec un parapluie pour attendre ma copine, qui travaille dans ce supermarché.
A ce moment, le maitre chien, un homme (…) entre quarante et cinquante ans, vint attacher son chien.
Mais, ce dernier se mit à aboyer. Voyant son maitre revenir de la voiture avec une muselière, qui devrait d’ailleurs être tout le temps sur le chien d’après la loi, je voulus lui parler.
En effet, en dehors de deux commerçants un peu plus loin, j’étais le seul à être dans les environs. Étant un amoureux des animaux, je demandais donc au maitre s’il voulait que je m’éloigne, afin que son chien cesse d’aboyer.
Et là, l’homme de me répondre sèchement : « Monsieur, mon chien la rien demande a ou, ma la rien demande a ou, alors, bouche out ki, lamoucate »
Étant interloqué, et surpris, je lui demandais alors pourquoi il me parlait sur ce ton, alors que je ne lui avais pas manqué de respect. Il me répondait sur le même ton « ferme out ki ».
Cette agression verbale, je souhaitais en faire l’écho, car elle est totalement gratuite, et les deux commerçants peuvent témoigner que je n’ai pas manqué de respect à cet homme. Alors, Messieurs de (…) (Le nom de la société a là aussi été effacé par Pierrot Dupuy), je n’ai aucun conseil à vous donner, mais, je pense que vous devriez apprendre la politesse et le respect à vos hommes.
Et quant à vous, messieurs les responsables de Carrefour, sachez que je ne remettrais plus les pieds dans votre établissement, et que je me charge, à chaque fois que cela sera possible de le faire, de vous faire une belle publicité, car si vous ne sanctionner pas cette personne, voire la société qui l’emploie, cela veut dire que vous cautionnez ce genre d’agissement.
Imaginez que je sois un touriste de passage, et que cela soit relaté en métropole, vous pensez vraiment que ce soit une belle image que vous donnez de notre ile ?
Messieurs, je ne vous salue pas.
BERTIL Bertrand Reshad