Julie, 22 ans, avait été battue et laissée pour morte en raison de son orientation sexuelle. Le jour des faits, elle se promenait avec sa compagne. Elle avait été frappée au visage à plusieurs reprises. Une violence gratuite qui l’avait largement traumatisée et avait nécessité plusieurs hospitalisations.
Ce mercredi, les deux mis en cause comparaissaient à huis clos devant le tribunal pour enfants à Saint-Denis. Tous deux désormais placés dans un foyer dans le sud de l’île ont été reconnus coupables de violences volontaires en réunion. Ils écopent d’une mesure éducative.