Nous vous avons relaté hier l'aventure rocambolesque de trois "gros bras" réunionnais arrêtés la semaine dernière à l'aéroport de Mayotte au moment où ils s'apprêtaient à quitter l'ile aux Parfums après avoir sauvagement agressé une avocate, et à rentrer à la Réunion.
Non seulement ils s'étaient trompé de cible (ils pensaient s'en prendre à une autre avocate), mais ils étaient repartis à bord d'une voiture de location, ce qui avait permis à la police de facilement retrouver leur trace.
En garde à vue, les trois pieds nickelés ont parlé. Selon la presse mahoraise, ils auraient mis en cause un entrepreneur de la Réunion et le journal France Mayotte Matin est même allé jusqu'à titrer sur Guyto "Narayanin suspecté?", avec la photo du célèbre homme d'affaire réunionnais. Ce que ce dernier dément avec la plus totale véhémence.
Il faut dire que les regards se sont portés sur Guyto Narayanin car ce dernier est opposé depuis des années à un dénommé Frédéric d’Achery, dont l'avocate n'est autre que la patronne de la victime des trois nervis. "Le raccourci était facile et le nom de ce dernier a été associé à l’affaire", explique France Mayotte Matin. Contacté par téléphone par le journal, Guyto Narayanin "dément catégoriquement toute implication. Il se dit également prêt à être entendu et se tient à la disposition de la justice et des enquêteurs, que ce soit à la Réunion ou à Mayotte. Pour l’heure, le fait d’être réunionnais comme les suspects et le contentieux important qui l’oppose au cabinet d’avocat de la victime ne permettent en aucun cas de l’incriminer. La présomption d’innocence est donc de mise", précise le journal.
Mais ce matin, le journal Les Nouvelles de Mayotte nous apprend que les trois voyous auraient continué de parler en détention et qu'ils auraient avoué qu'on leur avait demandé de s'en prendre à une deuxième cible. Le journal ne donne pas plus de précisions pour le moment.
On apprend par ailleurs que ce sont les policiers de la Sûreté réunionnaise qui suivent l'affaire.
On n'en est probablement qu'au tout début d'un feuilleton judiciaire qui devrait occuper l'actualité dans les jours et semaines à venir.
Non seulement ils s'étaient trompé de cible (ils pensaient s'en prendre à une autre avocate), mais ils étaient repartis à bord d'une voiture de location, ce qui avait permis à la police de facilement retrouver leur trace.
En garde à vue, les trois pieds nickelés ont parlé. Selon la presse mahoraise, ils auraient mis en cause un entrepreneur de la Réunion et le journal France Mayotte Matin est même allé jusqu'à titrer sur Guyto "Narayanin suspecté?", avec la photo du célèbre homme d'affaire réunionnais. Ce que ce dernier dément avec la plus totale véhémence.
Il faut dire que les regards se sont portés sur Guyto Narayanin car ce dernier est opposé depuis des années à un dénommé Frédéric d’Achery, dont l'avocate n'est autre que la patronne de la victime des trois nervis. "Le raccourci était facile et le nom de ce dernier a été associé à l’affaire", explique France Mayotte Matin. Contacté par téléphone par le journal, Guyto Narayanin "dément catégoriquement toute implication. Il se dit également prêt à être entendu et se tient à la disposition de la justice et des enquêteurs, que ce soit à la Réunion ou à Mayotte. Pour l’heure, le fait d’être réunionnais comme les suspects et le contentieux important qui l’oppose au cabinet d’avocat de la victime ne permettent en aucun cas de l’incriminer. La présomption d’innocence est donc de mise", précise le journal.
Mais ce matin, le journal Les Nouvelles de Mayotte nous apprend que les trois voyous auraient continué de parler en détention et qu'ils auraient avoué qu'on leur avait demandé de s'en prendre à une deuxième cible. Le journal ne donne pas plus de précisions pour le moment.
On apprend par ailleurs que ce sont les policiers de la Sûreté réunionnaise qui suivent l'affaire.
On n'en est probablement qu'au tout début d'un feuilleton judiciaire qui devrait occuper l'actualité dans les jours et semaines à venir.