Revenir à la rubrique : Océan Indien

Afrique du Sud : Un requin blanc atterrit sur l’arrière d’un bateau

  Drôle de rencontre entre des scientifiques et un requin blanc. Le 18 juillet dernier, le squale a fait un atterrissage sur l’arrière du bateau de sept chercheurs océanographes. L’histoire est relatée par The Guardian et The Sun. Les océanographes étaient en train d’étudier les requins blancs chassant les phoques au large de Seal Island. […]

Ecrit par zinfos974 – le jeudi 21 juillet 2011 à 16H07

 

Drôle de rencontre entre des scientifiques et un requin blanc. Le 18 juillet dernier, le squale a fait un atterrissage sur l’arrière du bateau de sept chercheurs océanographes.

L’histoire est relatée par The Guardian et The Sun. Les océanographes étaient en train d’étudier les requins blancs chassant les phoques au large de Seal Island. La directrice du centre de recherche océanique d’Afrique du Sud a vu le requin sauter au-dessus d’un scientifique qui lançait des appas et atterrir sur le pont du bateau.

Selon les chercheurs, le squale de près d’une demie tonne était désorienté et s’est retrouvé complètement prisonnier du bateau, endommageant au passage les moteurs de l’embarcation. Les océanographes se sont réfugiés à l’avant du bateau pour appeler les secours. Le bateau a été remorqué jusqu’au port et le requin blanc a pu être dégagé par une grue avant d’être relâché.

Deux explications sont avancées par les scientifiques pour cette rencontre très étonnante. La première, le requin était en train de chasser et utilisait la technique du saut pour attraper un phoque quand il s’est retrouvé bloqué sur le bateau. La seconde, il essayait d’échapper à un rival.

En tout cas cette histoire est la première du genre selon le service de conservation de la faune… On se souvient quand même de cette photo extraordinaire d’une baleine sautant sur un voilier, également en Afrique du Sud ([voir ici]urlblank:http://www.zinfos974.com/Afrique-du-Sud-Une-baleine-attaque-un-voilier_a19654.html ).

 

Thèmes :
Message fin article

Avez-vous aimé cet article ?

Partagez-le sans tarder sur les réseaux sociaux, abonnez-vous à notre Newsletter,
et restez à l'affût de nos dernières actualités en nous suivant sur Google Actualités.

Pour accéder à nos articles en continu, voici notre flux RSS : https://www.zinfos974.com/feed
Une meilleure expérience de lecture !
nous suggérons l'utilisation de Feedly.

S’abonner
Notification pour
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires

Dans la même rubrique

COI : Atelier de consultation sur la sécurité portuaire à Madagascar

La Commission de l’océan Indien a organisé une consultation nationale sur la sécurité portuaire et la sûreté de la navigation à Madagascar. Accueillie par le ministère des Affaires étrangères, cette consultation a notamment permis de définir des mesures concrètes afin d’améliorer la surveillance maritime et renforcer la collaboration entre les pays de la région. En présence de six ministres, les équipes de la COI ont pu instaurer une compréhension complète des progrès et des défis dans la mise en œuvre des activités du PSP.

« Il faut peut-être en tuer » : Le vice-président du Département de Mayotte condamné à 3 mois de prison avec sursis

Salime Mdéré était jugé pour avoir déclaré en direct sur une chaîne de télévision publique mahoraise « Il faut peut-être en tuer » au sujet des délinquants qui affrontaient la police lors de l’opération Wuambushu. Trois mois de prison avec sursis et 5.000 euros d’amende avaient été requis. Le tribunal a décidé d’aller au-delà des réquisitions et le condamner à trois mois de prison et 10.000 euros d’amende pour provocation publique.

L’aire marine protégée des Chagos ravive l’espoir d’un retour au pays pour les derniers déportés

À l’origine imaginée pour sanctuariser la zone et empêcher le retour de la population déportée il y a cinquante ans, le projet d’aire maritime protégée britannique dans l’archipel des Chagos inclut désormais un espace dédié à l’habitat, sur les îles de Peros Banhos et Salomon. De quoi nourrir l’espoir d’un retour au pays pour les quelque 500 Chagossiens encore vivants, qui rêvent d’y séjourner et d’y mourir en paix.