"Affaires Sensibles", le mensuel d'informations diffusé sur France 2 consacre un de ses épisodes à "Kadhafi à Paris, la folle visite d'un dictateur". Une visite polémique d'autant que le dictateur n'est pas connu pour appliquer les droits de l'Homme. L'homme est aussi un prédateur sexuel.
Lors d'un voyage presse organisé en 1984 en Libye, Mémona Hintermann a été la victime d'une tentative de viol de la part du "Guide suprême".
Alors qu'elle devait interviewer Mouammar Kadhafi dans le palais présidentiel, celui-ci l'a attirée dans une chambre. L'interprète qui l'accompagnait jusqu'alors avait subitement disparu. "Et là, il me jette sur le lit, il est sur moi. C'était étrange, parce que je n'arrivais pas à croire que Kadhafi me viole. Parce que je l'avais toujours vu à la télé, c'était un chef d'Etat qui avait des relations avec la France, et je le vois sur moi", révèle-t-elle.
Pour échapper à son agresseur, elle lui fait comprendre qu'elle a ses règles. Kadhafi la laisse partir mais quand elle lui demande ce qui se passera si elle raconte la scène à ses collègues, il répond en anglais "Je vous tue, j'envoie quelqu'un vous tuer".
Prévenu, le Quai d'Orsay, l'exfiltre du pays.
"Pendant des années, son nom m'était impossible à prononcer", révèle Mémona Hintermann qui s'est spécialement mise en congé pour ne pas à avoir à traiter la visite de Kadhafi à Paris en 2007.
Lors d'un voyage presse organisé en 1984 en Libye, Mémona Hintermann a été la victime d'une tentative de viol de la part du "Guide suprême".
Alors qu'elle devait interviewer Mouammar Kadhafi dans le palais présidentiel, celui-ci l'a attirée dans une chambre. L'interprète qui l'accompagnait jusqu'alors avait subitement disparu. "Et là, il me jette sur le lit, il est sur moi. C'était étrange, parce que je n'arrivais pas à croire que Kadhafi me viole. Parce que je l'avais toujours vu à la télé, c'était un chef d'Etat qui avait des relations avec la France, et je le vois sur moi", révèle-t-elle.
Pour échapper à son agresseur, elle lui fait comprendre qu'elle a ses règles. Kadhafi la laisse partir mais quand elle lui demande ce qui se passera si elle raconte la scène à ses collègues, il répond en anglais "Je vous tue, j'envoie quelqu'un vous tuer".
Prévenu, le Quai d'Orsay, l'exfiltre du pays.
"Pendant des années, son nom m'était impossible à prononcer", révèle Mémona Hintermann qui s'est spécialement mise en congé pour ne pas à avoir à traiter la visite de Kadhafi à Paris en 2007.