Le parquet de Paris a ouvert une information judiciaire des chefs de « violences en réunion n’ayant pas entraîné d’ITT« , « immixtion dans l’exercice d’une fonction publique en accomplissant des actes réservés à l’autorité publique« , « port et complicité de port prohibé et sans droit d’insignes réglementés par l’autorité publique« , « port prohibé d’arme de la catégorie B« , « violation et recel de violation du secret professionnel« , « détournement et complicité de détournement d’images issues d’un système de vidéo protection »
Le parquet a en outre requis le placement sous contrôle judiciaire des cinq personnes déférées, à savoir Alexandre Benalla, Vincent Crase et les trois policiers mis en cause..
Par ailleurs, Alexandre Benalla et Vincent Crase ont l’interdiction d’exercer une fonction publique ou une mission de service public et de détenir une arme.
Les trois policiers ont l’interdiction d’exercer leurs fonctions.
Les cinq personnes ont également des interdictions d’entrer en contact les uns avec les autres.
Mise à jour: Le parquet de Paris a annoncé dimanche soir qu’Alexandre Benalla et les quatre autres suspects sont mis en examen dans l’affaire des violences commises le 1er mai dernier.
L’ancien responsable de la sécurité de l’Elysée est visé des chefs de « violences en réunion n’ayant pas entraîné d’ITT« , « immixtion dans l’exercice d’une fonction publique« , « port public et sans droit d’insignes réglementés« , « recel de détournement d’images issues de la vidéoprotection » et « recel de violation du secret professionnel« .