Au lieu de répondre aux questions que nous leur avons posées quant à l'admission pour le moins étrange de Stéphane Maillot, le représentant de l'UNEF à l'université, en Master d'Info Com alors qu'il a échoué à son examen en juin dernier (voir nos articles "Quelques révélations sur Stéphane Maillot, le 3ème co-président de l’ombre à l’université ", "Réponse à Bernard Idelson, suite à l'admission de Stéphane Maillot en Master Info-Com à l'université ", "Les preuves des magouilles de Stéphane Maillot, le représentant de l'UNEF à l'université " et "Info/Com à l'université : Quand des étudiants commencent à raconter le dessous des cartes ", on me dit que certains hauts responsables, dont l'ineffable Frédéric Tupin, s'apprêteraient à porter plainte.
Le but serait ni plus ni moins que d'essayer de savoir comment j'ai pu bénéficier de ces informations et surtout comment j'ai pu obtenir le relevé de notes de ce cher Stéphane Maillot. Etrange que des personnalités aussi émérites ne connaissent pas les lois sur la protection des sources des journalistes...
Ca me fait penser à la tête ahurie d'une gentille officier de police judiciaire qui m'avait demandé, il y a quelques années, le nom de l'informateur à Air Austral qui m'avait transmis des documents que j'avais publiés contre Gérard Ethève. Je revois encore son air décomposé quand je lui ai déclaré que notre entretien allait s'arrêter là mais qu'avant de partir, je tenais à ce qu'elle note officiellement que je portais plainte contre elle pour avoir osé me poser cette question interdite par la loi... J'en ris encore !
On me rapporte également qu'une énorme pression est mise sur le personnel, menaces à la clé, et sur les étudiants avec pour objectif cette fois d'essayer de colmater les fuites et d'éviter que d'autres informateurs, écoeurés par ce que j'ai révélé, ne me contactent et ne me donnent d'autres éléments.
J'ai envie de dire "trop tard, messieurs"...
Je peux me permettre un conseil ? Allez vous acheter un stock de calmants. Vous risquez d'en avoir besoin dans les jours qui viennent...
Le but serait ni plus ni moins que d'essayer de savoir comment j'ai pu bénéficier de ces informations et surtout comment j'ai pu obtenir le relevé de notes de ce cher Stéphane Maillot. Etrange que des personnalités aussi émérites ne connaissent pas les lois sur la protection des sources des journalistes...
Ca me fait penser à la tête ahurie d'une gentille officier de police judiciaire qui m'avait demandé, il y a quelques années, le nom de l'informateur à Air Austral qui m'avait transmis des documents que j'avais publiés contre Gérard Ethève. Je revois encore son air décomposé quand je lui ai déclaré que notre entretien allait s'arrêter là mais qu'avant de partir, je tenais à ce qu'elle note officiellement que je portais plainte contre elle pour avoir osé me poser cette question interdite par la loi... J'en ris encore !
On me rapporte également qu'une énorme pression est mise sur le personnel, menaces à la clé, et sur les étudiants avec pour objectif cette fois d'essayer de colmater les fuites et d'éviter que d'autres informateurs, écoeurés par ce que j'ai révélé, ne me contactent et ne me donnent d'autres éléments.
J'ai envie de dire "trop tard, messieurs"...
Je peux me permettre un conseil ? Allez vous acheter un stock de calmants. Vous risquez d'en avoir besoin dans les jours qui viennent...