Toutes racontent à peu de choses près les mêmes techniques d’un homme qui userait de sa position d’organisateur de concours de beauté pour solliciter des faveurs sexuelles de la part des candidates en leur faisant notamment du chantage ou en leur promettant d’accéder à un poste de prestige. Une des plaignantes est une mineure.
Par la voix de Frédéric Rousset, son président, le CEVIF, le Collectif pour l’élimination des violences intra-familiales, avait pris position contre Williams Madarassou, « un auteur clairement identifié ».
Frédéric Rousset et deux des Miss plaignantes sont convoqués devant le tribunal correctionnel de Saint-Denis le 2 mars prochain en tant que prévenus pour diffamation.