
Depuis que l'affaire DSK a éclaté ce matin en France, tous les journalistes et commentateurs se focalisent sur la personnalité du patron du FMI et sur les conséquences que ce nouveau scandale pourraient avoir pour sa carrière politique.
Même s'il faut bien prendre en compte la présomption d'innocence, cette dernière ne peut être que de la même force que sa présomption de culpabilité. Et autant il est normal qu'on se préoccupe de l'épreuve que traverse actuellement Dominique Strauss Kahn, autant on devrait également se pencher sur celle que vit la femme de chambre, sa présumée victime.
Jusqu'à preuve du contraire, c'est elle la victime et il n'y a aucune raison de mettre davantage sa parole en doute que celle du directeur général du FMI. Voilà une employée modèle, selon son patron, qui travaille dans cet hôtel depuis trois ans. Ce qui signifie qu'elle a dû croiser des dizaines d'hommes aussi fortunés que DSK dans cet établissement de haut standing. Pourquoi l'aurait-elle choisi comme victime, lui plutôt qu'un autre des milliardaires qu'elle a croisés depuis trois ans?
Autre victime féminine dans cette affaire, Anne Sinclair. L'épouse de DSK se trouve une fois de plus emportée par un véritable tsunami à la suite des frasques sexuelles (pour le moment présumées en ce qui concerne l'affaire de New York) de son mari. Mais de nouvelles affaires, jusqu'ici étouffées, pourraient voir le jour très prochainement. Et on ne peut s'empêcher de penser aux rumeurs courant dans le tout-Paris selon lesquelles Anne Sinclair serait une femme tellement ambitieuse, qui rêve tellement à un rôle de femme de président de la République, qu'elle serait prête à tout accepter, y compris les frasques de son mari.
On se souvient du soutien qu'elle avait affiché à Dominique Strauss Kahn quand ce dernier avait été accusé d'avoir eu une relation avec une de ses collaboratrices au FMI. Elle n'avait voulu voir là qu'une aventure passagère.
Aujourd'hui, les faits sont autrement plus graves et il est à craindre que Anne Sinclair ne doive définitivement faire une croix sur ses ambitions...
Même s'il faut bien prendre en compte la présomption d'innocence, cette dernière ne peut être que de la même force que sa présomption de culpabilité. Et autant il est normal qu'on se préoccupe de l'épreuve que traverse actuellement Dominique Strauss Kahn, autant on devrait également se pencher sur celle que vit la femme de chambre, sa présumée victime.
Jusqu'à preuve du contraire, c'est elle la victime et il n'y a aucune raison de mettre davantage sa parole en doute que celle du directeur général du FMI. Voilà une employée modèle, selon son patron, qui travaille dans cet hôtel depuis trois ans. Ce qui signifie qu'elle a dû croiser des dizaines d'hommes aussi fortunés que DSK dans cet établissement de haut standing. Pourquoi l'aurait-elle choisi comme victime, lui plutôt qu'un autre des milliardaires qu'elle a croisés depuis trois ans?
Autre victime féminine dans cette affaire, Anne Sinclair. L'épouse de DSK se trouve une fois de plus emportée par un véritable tsunami à la suite des frasques sexuelles (pour le moment présumées en ce qui concerne l'affaire de New York) de son mari. Mais de nouvelles affaires, jusqu'ici étouffées, pourraient voir le jour très prochainement. Et on ne peut s'empêcher de penser aux rumeurs courant dans le tout-Paris selon lesquelles Anne Sinclair serait une femme tellement ambitieuse, qui rêve tellement à un rôle de femme de président de la République, qu'elle serait prête à tout accepter, y compris les frasques de son mari.
On se souvient du soutien qu'elle avait affiché à Dominique Strauss Kahn quand ce dernier avait été accusé d'avoir eu une relation avec une de ses collaboratrices au FMI. Elle n'avait voulu voir là qu'une aventure passagère.
Aujourd'hui, les faits sont autrement plus graves et il est à craindre que Anne Sinclair ne doive définitivement faire une croix sur ses ambitions...