Les compagnons de randonnée de Mathieu Caizergues ont, hier, été mis en examen pour non-assistance à personne en danger.
Contrairement à ce qui avait été indiqué ce matin, les deux hommes n'ont pas été mis en examen pour homicide involontaire.
Le mari d’une gendarme et un gendarme de St-Paul, qui accompagnaient Mathieu Cazeirgues sur le sentier reliant Mafate au Maïdo au moment de sa disparition, ont été entendus mercredi par le juge d’instruction au tribunal de St-Denis avant d’être laissés libres.
Un an après sa disparition, à quelques jours près, le gendarme originaire de Montpellier avait été déclaré décédé par le parquet de St-Denis afin de saisir un juge d’instruction.
Les deux hommes avaient été placés en garde à vue fin juillet 2017. Les enquêteurs s’interrogeaient notamment sur les raisons pour lesquelles les deux compagnons de randonnée avaient attendu plusieurs heures avant de donner l’alerte.
Contrairement à ce qui avait été indiqué ce matin, les deux hommes n'ont pas été mis en examen pour homicide involontaire.
Le mari d’une gendarme et un gendarme de St-Paul, qui accompagnaient Mathieu Cazeirgues sur le sentier reliant Mafate au Maïdo au moment de sa disparition, ont été entendus mercredi par le juge d’instruction au tribunal de St-Denis avant d’être laissés libres.
Un an après sa disparition, à quelques jours près, le gendarme originaire de Montpellier avait été déclaré décédé par le parquet de St-Denis afin de saisir un juge d’instruction.
Les deux hommes avaient été placés en garde à vue fin juillet 2017. Les enquêteurs s’interrogeaient notamment sur les raisons pour lesquelles les deux compagnons de randonnée avaient attendu plusieurs heures avant de donner l’alerte.