Cyril V. sera jugé en juin prochain devant la cour d'assises. Il encourt la réclusion criminelle à perpétuité pour avoir violé et tenté d'égorger sa compagne et mère de ses deux enfants avec un cutter.
Les faits présumés se sont déroulés dans une résidence située dans le quartier de Montgaillard dans le chef lieu. Ce matin-là, le mis en cause avait fait croire à la malheureuse dont il venait de se séparer qu'il viendrait à son nouveau domicile afin de l'aider à réparer sa voiture. Il l'avait attendue en bas de l'immeuble. Lorsqu'elle est arrivée, elle s'était présentée en compagnie d'un autre homme.
Selon les premiers éléments de l'enquête, Cyril V., n'acceptant pas la séparation, aurait été fou de jalousie de voir son ex en compagnie d'un autre homme. Sous prétexte d'avoir une discussion, ils étaient montés ensemble dans l'appartement de la future victime. Celle-ci aurait été contrainte de lui faire une fellation avant de recevoir trois coups de cutter au niveau de la gorge la blessant gravement.
Les deux corps découverts ensanglantés
Fort heureusement, l'employeur ne voyant pas arriver sa salariée avait alerté la famille. La mère et la soeur s'étaient précipitées à Montgaillard. Profitant d'une fenêtre ouverte dans le rez de jardin, elles avaient découvert une scène d'horreur, les deux protagonistes baignant chacun dans leur sang. Cyril V. avait essayé de se tailler les veines. Mais à l'arrivée de sa belle-soeur, il avait pris la fuite. Des ouvriers qui travaillaient sur un chantier voisin avaient mis fin à sa cavale.
Ce mardi, alors qu'il a souhaité garder le silence, Cyril V. a comparu devant la chambre de l'instruction afin que sa détention provisoire soit exceptionnellement prolongée en attendant sa comparution devant un jury populaire.
Le parquet général a fait valoir au soutien de sa demande de poursuite d'incarcération que le mis en cause n'avait "aucun regard critique" sur les faits qui lui étaient reprochés. "Il a même écrit un courrier à son ex compagne en la menaçant et en lui indiquant qu'il continuait de la surveiller de sa cellule", a ajouté l'avocate générale.
Sans surprise, les magistrats ont entendu ces arguments et décidé de laisser Cyril V. derrière les barreaux en attendant d'être jugé.
Les faits présumés se sont déroulés dans une résidence située dans le quartier de Montgaillard dans le chef lieu. Ce matin-là, le mis en cause avait fait croire à la malheureuse dont il venait de se séparer qu'il viendrait à son nouveau domicile afin de l'aider à réparer sa voiture. Il l'avait attendue en bas de l'immeuble. Lorsqu'elle est arrivée, elle s'était présentée en compagnie d'un autre homme.
Selon les premiers éléments de l'enquête, Cyril V., n'acceptant pas la séparation, aurait été fou de jalousie de voir son ex en compagnie d'un autre homme. Sous prétexte d'avoir une discussion, ils étaient montés ensemble dans l'appartement de la future victime. Celle-ci aurait été contrainte de lui faire une fellation avant de recevoir trois coups de cutter au niveau de la gorge la blessant gravement.
Les deux corps découverts ensanglantés
Fort heureusement, l'employeur ne voyant pas arriver sa salariée avait alerté la famille. La mère et la soeur s'étaient précipitées à Montgaillard. Profitant d'une fenêtre ouverte dans le rez de jardin, elles avaient découvert une scène d'horreur, les deux protagonistes baignant chacun dans leur sang. Cyril V. avait essayé de se tailler les veines. Mais à l'arrivée de sa belle-soeur, il avait pris la fuite. Des ouvriers qui travaillaient sur un chantier voisin avaient mis fin à sa cavale.
Ce mardi, alors qu'il a souhaité garder le silence, Cyril V. a comparu devant la chambre de l'instruction afin que sa détention provisoire soit exceptionnellement prolongée en attendant sa comparution devant un jury populaire.
Le parquet général a fait valoir au soutien de sa demande de poursuite d'incarcération que le mis en cause n'avait "aucun regard critique" sur les faits qui lui étaient reprochés. "Il a même écrit un courrier à son ex compagne en la menaçant et en lui indiquant qu'il continuait de la surveiller de sa cellule", a ajouté l'avocate générale.
Sans surprise, les magistrats ont entendu ces arguments et décidé de laisser Cyril V. derrière les barreaux en attendant d'être jugé.