Après plusieurs semaines de table ronde à la Préfecture entre le Collectif de lutte contre la vie chère, la grande distribution et la Réunion Economique, un accord a enfin été signé sur une baisse de 250 produits de grande consommation, à partir d’une liste proposée par le COSPAR. Cette baisse sera effective dès le 8 avril 2009.
Parmi ces 250 produits, 71% d’entre eux verront leurs prix baisser de 5%, principalement ceux provenant de la production locale. Les prix de 91 produits subiront une baisse de 10%, 73 produits une baisse de 15% et seulement 13 produits baisseront de 20%. La date de référence qui permet d’établir ces nouveaux prix est le 31 décembre 2008.
Pour leur part, les petits commerçants s’engagent à répercuter dans leur intégralité les baisses de prix qui leur seront consenties par les importateurs, les grossistes, les industriels et les producteurs locaux, en respectant le principe de solidarité dans la filière.
Autant les commerçants que la grande distribution s’engagent à rendre clairement identifiables les produits dont les prix vont baisser, grâce à une signalétique simple et lisible par tous les consommateurs.
Jean-Hugues Ratenon, porte parole du COSPAR assure, et cette clause est d’ailleurs inscrite dans l’accord, que cette liste de 250 produits fera l’objet de contrôles réguliers et que toute évolution des prix se fera de manière concertée entre chaque partie.
Dans un deuxième temps, au delà de la négociation d’une baisse des prix sur les produits qui font l’objet de l’accord signé aujourd’hui, sera conduite "une concertation élargie à l’ensemble des acteurs de la formation des prix", c’est-à-dire l’Etat pour la TVA, la Région, le Département et les 24 communes pour l’octroi de mer et les compagnies aériennes et maritimes pour le fret.
Dans cet accord signé, chaque partie promet de veiller à ce que les évolutions des prix n’aient pas de répercussions négatives sur la production locale, auquel cas "l’évolution concernée serait reconsidérée". Lors de la table ronde d’hier, le COSPAR avait déjà obtenu une commission spécifique sur les fruits et légumes.
La prochaine étape des revendications du COSPAR se joue en ce moment même à la Préfecture, sur la question des salaires et des minima sociaux…
Parmi ces 250 produits, 71% d’entre eux verront leurs prix baisser de 5%, principalement ceux provenant de la production locale. Les prix de 91 produits subiront une baisse de 10%, 73 produits une baisse de 15% et seulement 13 produits baisseront de 20%. La date de référence qui permet d’établir ces nouveaux prix est le 31 décembre 2008.
Pour leur part, les petits commerçants s’engagent à répercuter dans leur intégralité les baisses de prix qui leur seront consenties par les importateurs, les grossistes, les industriels et les producteurs locaux, en respectant le principe de solidarité dans la filière.
Autant les commerçants que la grande distribution s’engagent à rendre clairement identifiables les produits dont les prix vont baisser, grâce à une signalétique simple et lisible par tous les consommateurs.
Jean-Hugues Ratenon, porte parole du COSPAR assure, et cette clause est d’ailleurs inscrite dans l’accord, que cette liste de 250 produits fera l’objet de contrôles réguliers et que toute évolution des prix se fera de manière concertée entre chaque partie.
Dans un deuxième temps, au delà de la négociation d’une baisse des prix sur les produits qui font l’objet de l’accord signé aujourd’hui, sera conduite "une concertation élargie à l’ensemble des acteurs de la formation des prix", c’est-à-dire l’Etat pour la TVA, la Région, le Département et les 24 communes pour l’octroi de mer et les compagnies aériennes et maritimes pour le fret.
Dans cet accord signé, chaque partie promet de veiller à ce que les évolutions des prix n’aient pas de répercussions négatives sur la production locale, auquel cas "l’évolution concernée serait reconsidérée". Lors de la table ronde d’hier, le COSPAR avait déjà obtenu une commission spécifique sur les fruits et légumes.
La prochaine étape des revendications du COSPAR se joue en ce moment même à la Préfecture, sur la question des salaires et des minima sociaux…