Un homme de 47 ans perdait la vie il y a un an, le 22 mars 2018 au Guillaume, Saint-Paul. En fin d’après-midi, il est passager sur un scooter piloté par une connaissance, âgée de 25 ans, lorsqu’il est percuté par une Polo Volkswagen, chemin Lallemand. Il décède sur place d’un traumatisme thoracique, malgré l’intervention des secours. Le jeune pilote du deux-roues est quant à lui gravement blessé et passera un mois à l’hôpital.
La conductrice de la Polo, en état de choc, qui semble n'y être pour rien, est également prise en charge. En effet, le jeune homme, avec un taux d’alcoolémie de 1,24g par litre de sang et des traces de zamal, circulait à vive allure. Selon la conductrice de la voiture, le scooter était arrivé sur sa gauche sans qu’elle ne puisse l’éviter.
Le scootériste raconte avoir passé l’après-midi dans un bar à boire et jouer au billard. Il ne se souvient pas de la suite, pas même d’avoir ramené la victime. Une chose est certaine : personne ne pilotait son scooter à part lui.
C’est en larmes que le jeune homme a demandé sincèrement pardon ce mardi devant le tribunal correctionnel. "Une situation difficile pour tout le monde", affirme la procureure. Une situation aussi trop récurrente : "50 décès par an à La Réunion", rappelle-t-elle avant de requérir 30 mois de prison dont 15 mois avec sursis et une obligation de travail.
Le tribunal a décidé de suivre ses réquisitions en y ajoutant une obligation de soins.
La conductrice de la Polo, en état de choc, qui semble n'y être pour rien, est également prise en charge. En effet, le jeune homme, avec un taux d’alcoolémie de 1,24g par litre de sang et des traces de zamal, circulait à vive allure. Selon la conductrice de la voiture, le scooter était arrivé sur sa gauche sans qu’elle ne puisse l’éviter.
Le scootériste raconte avoir passé l’après-midi dans un bar à boire et jouer au billard. Il ne se souvient pas de la suite, pas même d’avoir ramené la victime. Une chose est certaine : personne ne pilotait son scooter à part lui.
C’est en larmes que le jeune homme a demandé sincèrement pardon ce mardi devant le tribunal correctionnel. "Une situation difficile pour tout le monde", affirme la procureure. Une situation aussi trop récurrente : "50 décès par an à La Réunion", rappelle-t-elle avant de requérir 30 mois de prison dont 15 mois avec sursis et une obligation de travail.
Le tribunal a décidé de suivre ses réquisitions en y ajoutant une obligation de soins.