
Juillet dernier, alors que le volcan nous offrait un nouveau spectacle, l’accès avec accompagnement sécurisé dans l’enclos a été expérimenté pour 27 professionnels de l’image et de la presse. 47 accompagnateurs en moyenne montagne ont suivi une formation spécifique. Les résultats de cette expérimentation sont tombés à la fin du mois dernier.
Pour les services de l’État et les représentants des accompagnateurs et guides de haute montagne réunis au sein de l'association sécurité volcan (ASV) , "l’accompagnement sécurisé est réaliste" mais pour autant "ne peut être totalement validé en l’état ".
Des points restent à améliorer : les conditions de la reconnaissance du site, la gestion des accès à l'enclos, la chaîne de compte-rendu, l’emplacement de la zone d’accueil du public mais aussi le dispositif spécifique ORSEC et le dispositif d’encadrement du public au volcan (DEPV) qui " devront également être adaptés".
Le dispositif qui prévoit l'organisation coordonnée par les accompagnateurs et guides de haute montagne et la mise en œuvre d’une chaîne d'alerte déployée en cas d'accident lors d'un accompagnement ou en cas de modification brutale de l'éruption.
Une ouverture au public de l’enclos en période éruptive reste également assujettie à un investissement important en matériel et une structuration de l’ASV qui porte le projet. "L’association finalise actuellement son dossier qu’elle présentera aux services de l’État et aux collectivités locales en vue d’être accompagnée dans le développement de ce projet touristique", indique la préfecture.
Pour les services de l’État et les représentants des accompagnateurs et guides de haute montagne réunis au sein de l'association sécurité volcan (ASV) , "l’accompagnement sécurisé est réaliste" mais pour autant "ne peut être totalement validé en l’état ".
Des points restent à améliorer : les conditions de la reconnaissance du site, la gestion des accès à l'enclos, la chaîne de compte-rendu, l’emplacement de la zone d’accueil du public mais aussi le dispositif spécifique ORSEC et le dispositif d’encadrement du public au volcan (DEPV) qui " devront également être adaptés".
Le dispositif qui prévoit l'organisation coordonnée par les accompagnateurs et guides de haute montagne et la mise en œuvre d’une chaîne d'alerte déployée en cas d'accident lors d'un accompagnement ou en cas de modification brutale de l'éruption.
Une ouverture au public de l’enclos en période éruptive reste également assujettie à un investissement important en matériel et une structuration de l’ASV qui porte le projet. "L’association finalise actuellement son dossier qu’elle présentera aux services de l’État et aux collectivités locales en vue d’être accompagnée dans le développement de ce projet touristique", indique la préfecture.