
Jean-Luc Gigan (à gauche sur la photo) accompagné de toute l’équipe de Hang’Art. Crédit photos : Patrick Courtois
Jean-Luc Gigan a été primé lors du 150e anniversaire de l’abolition de l’esclavage. En 1998, il remporte le concours "Mémoire et abolition" des Arts Plastiques pour son œuvre "Sans titre".
Ce jeudi à l’occasion du 20 desamb, sa toile trouvera place aux côtés de ses nouvelles créations. L’artiste-peintre revient ainsi 20 ans après avec "Ordre/Désordre", exposé à la galerie Hang’Art, à la Capitainerie du port de Saint-Pierre jusqu’au 3 février 2019.
Le Saint-Pierrois se lance pour la première fois dans la représentation d’un homme nu. "Le corps est là, une carnation qui hésite entre une teinte rosée et blanchâtre, un blanc qui se décompose, vieilli, sans superbe et sans visage, plutôt démuni".
Ce jeudi à l’occasion du 20 desamb, sa toile trouvera place aux côtés de ses nouvelles créations. L’artiste-peintre revient ainsi 20 ans après avec "Ordre/Désordre", exposé à la galerie Hang’Art, à la Capitainerie du port de Saint-Pierre jusqu’au 3 février 2019.
Le Saint-Pierrois se lance pour la première fois dans la représentation d’un homme nu. "Le corps est là, une carnation qui hésite entre une teinte rosée et blanchâtre, un blanc qui se décompose, vieilli, sans superbe et sans visage, plutôt démuni".

Cette œuvre primée allie "le noir et le blanc, la Pythie de Michel Ange et l'anonyme Rwandaise fuyant un certain génocide"
"Je suis très heureux de pouvoir présenter cette exposition au public et de partager mes toiles sur ce thème de l’ordre et du désordre, deux fléaux, qui pour moi, menacent le monde", confie Jean-Luc Gigan.
"Gigan a opté pour la figuration, du moins en apparence, tant ses tableaux sont capables de faire vaciller le spectateur vers d’autres univers plus flous, plus troubles. L’exposition qui présente aujourd’hui le travail de ce 'dézordèr', après plus d’une décennie d’absence en solo, nous rappelle, si besoin en était, que l’ordre naît du désordre", souligne Thierry Gangate, Commissaire général de l’exposition.
Après 6 mois de résidence l’artiste-peintre livre donc un travail contemporain et intemporel soutenu notamment par la Ville de Saint-Pierre, la Région Réunion, le Département de La Réunion et le FRAC (Fonds Régional d’Art Contemporain Réunion).
"Gigan a opté pour la figuration, du moins en apparence, tant ses tableaux sont capables de faire vaciller le spectateur vers d’autres univers plus flous, plus troubles. L’exposition qui présente aujourd’hui le travail de ce 'dézordèr', après plus d’une décennie d’absence en solo, nous rappelle, si besoin en était, que l’ordre naît du désordre", souligne Thierry Gangate, Commissaire général de l’exposition.
Après 6 mois de résidence l’artiste-peintre livre donc un travail contemporain et intemporel soutenu notamment par la Ville de Saint-Pierre, la Région Réunion, le Département de La Réunion et le FRAC (Fonds Régional d’Art Contemporain Réunion).