Ces dernières semaines ont été éprouvantes pour les salariés de l’ARAST. La rencontre d’il y a quelques jours avec le Conseil général, a même ajouté à l’incertitude.
“Lorsque nous avons demandé à Nassimah Dindar de mettre par écrit ses propositions, elle a mal pris nos propos”. “Elle nous a dit que sa parole suffisait”. La présidente a même ajouté : “Vous me prenez pour un menteuse?” Sans commentaire.
Pour revenir à la mise en redressement judiciaire, l’ARAST dispose désormais d’un cadre officiel pour décider d’un avenir plus serein. Mais si l’outil est pour l’heure sauvé, il faut désormais que la direction, le personnel et les deux administrateurs judiciaires proposent à terme un plan de restructuration.
“Les choses vont se faire doucement, elles vont se faire dans le cadre du travail, concernant le plan social”, déclare Laurent Técher, président de l’ARAST. “L’essentiel est de permettre à l’activité de se poursuivre, que les 15.000 bénéficiaires des prestations de l’ARAST ne soient pas pénalisés”, indique Iqbal Akhoon, avocat de l’association.
Sur la vidéo, le conseil explique que la mise en redressement judiciaire est un nouveau départ. Me Houssen Badat, le mandataire judiciaire, confirme que les salaires du mois d’avril des 1.500 salariés seront payés.
“Lorsque nous avons demandé à Nassimah Dindar de mettre par écrit ses propositions, elle a mal pris nos propos”. “Elle nous a dit que sa parole suffisait”. La présidente a même ajouté : “Vous me prenez pour un menteuse?” Sans commentaire.
Pour revenir à la mise en redressement judiciaire, l’ARAST dispose désormais d’un cadre officiel pour décider d’un avenir plus serein. Mais si l’outil est pour l’heure sauvé, il faut désormais que la direction, le personnel et les deux administrateurs judiciaires proposent à terme un plan de restructuration.
“Les choses vont se faire doucement, elles vont se faire dans le cadre du travail, concernant le plan social”, déclare Laurent Técher, président de l’ARAST. “L’essentiel est de permettre à l’activité de se poursuivre, que les 15.000 bénéficiaires des prestations de l’ARAST ne soient pas pénalisés”, indique Iqbal Akhoon, avocat de l’association.
Sur la vidéo, le conseil explique que la mise en redressement judiciaire est un nouveau départ. Me Houssen Badat, le mandataire judiciaire, confirme que les salaires du mois d’avril des 1.500 salariés seront payés.