120 hommes et une trentaine de véhicules d’un détachement terrestre de la force française « Barkhane », ainsi que 60 soldats maliens et 40 Néerlandais de la force de paix de l’ONU au Mali, la Minusma, sont sur le site du crash du vol AH 5017 d’Air Algérie depuis vendredi.
Ce samedi, ce sont 20 gendarmes et policiers français, dont ceux du BEA (Bureau d’enquêtes et d’analyses) qui les rejoignent.
Le ministre des affaires étrangères, Laurent Fabius, a expliqué que l’accès au site est « très difficile, en particulier pendant la saison des pluies » et selon le ministre de la défense, Jean-Yves Le Drian, les opérations « vont s’inscrire dans la durée ».
L’avion aurait touché le sol une première fois, puis rebondi, laissant des débris et des corps sur une distance de 500 mètres.
La plupart des experts évoquent les conditions météorologiques comme facteur du crash.
