
Les déclarations de la présidente du Conseil général Nassimah Dindar, sur une télé locale le 20 février 2009, sur l’application du RSA dès cette année, ont confirmé les inquiétudes du personnel de l’Agence départementale d’insertion.
“Nous n’avons aucune information sur ce dispositif appelé à remplacer le Rmi”, explique Patricia Doxiville déléguée du Syndicat autonome de la fonction publique territoriale, qui déplore aussi le mauvais climat de travail que génèrent ces incertitudes.
Il y a deux jours, c’est Marc Paoli, directeur de l’ADI en personne, qui déclarait dans les colonnes du Journal de l’île : “il est tout à fait légitime que les personnes se posent des questions sur l’avenir de l’ADI et s’inquiètent”.
L’avenir de Marc Paoli à la tête de l’institution alimente aujourd’hui les bruits de couloir. Selon un proche du cabinet, “c’est Marc Paoli qui a demandé à partir”. Pour d’autres, on le pousse dehors. Les rumeurs placent déjà Hugues Maillot dans son fauteuil, d’autres misent plutôt sur Maurice Gironcel.
Certains éléments de la majorité composite de Nassimah Dindar disent: “nous préférons une promotion en interne”. En fait, c’est l’aspect politique de la fonction qui va compliquer la désignation d’un éventuel successeur.
“Nous n’avons aucune information sur ce dispositif appelé à remplacer le Rmi”, explique Patricia Doxiville déléguée du Syndicat autonome de la fonction publique territoriale, qui déplore aussi le mauvais climat de travail que génèrent ces incertitudes.
Il y a deux jours, c’est Marc Paoli, directeur de l’ADI en personne, qui déclarait dans les colonnes du Journal de l’île : “il est tout à fait légitime que les personnes se posent des questions sur l’avenir de l’ADI et s’inquiètent”.
L’avenir de Marc Paoli à la tête de l’institution alimente aujourd’hui les bruits de couloir. Selon un proche du cabinet, “c’est Marc Paoli qui a demandé à partir”. Pour d’autres, on le pousse dehors. Les rumeurs placent déjà Hugues Maillot dans son fauteuil, d’autres misent plutôt sur Maurice Gironcel.
Certains éléments de la majorité composite de Nassimah Dindar disent: “nous préférons une promotion en interne”. En fait, c’est l’aspect politique de la fonction qui va compliquer la désignation d’un éventuel successeur.