
850.000 euros de subventions, c'est ce que l’ADEP aurait reçu pour l’année 2008 a rappelé Hajasoa Vololona Picard, adjointe au maire.
Celle-ci s’est rendue cet après-midi aux locaux de l’ADEP pour discuter avec les employés des problèmes qu’ils rencontrent.
Là-dessus, les salariés ont réagi instantanément. "Une subvention de 850 000 euros? Nous n’en avons pas vu la couleur. La direction nous parle d’avantage de gestion budgétaire serrée".
Pour les salariés, l’heure est grave. "C’est inadmissible pour un directeur de ne pas pouvoir échanger avec ses employés", explique l’un d’entre eux.
L’adjointe au maire note les revendications, avant de s’exprimer: "Je crois qu’il est important de renouer le dialogue face à ce malaise parce que, comme vous le dites, vous n’êtes pas seulement là pour gagner votre salaire mais travailler au sein de l’association dans l’intérêt de la population dionysienne".
Hajasoa Vololona Picard a annoncé qu’elle allait proposer de rencontrer le Conseil d’administration de l’ADEP.
Demain paralysie des activités à nouveau, "tant que la situation ne sera pas claire" explique l’un des salariés.
Celle-ci s’est rendue cet après-midi aux locaux de l’ADEP pour discuter avec les employés des problèmes qu’ils rencontrent.
Là-dessus, les salariés ont réagi instantanément. "Une subvention de 850 000 euros? Nous n’en avons pas vu la couleur. La direction nous parle d’avantage de gestion budgétaire serrée".
Pour les salariés, l’heure est grave. "C’est inadmissible pour un directeur de ne pas pouvoir échanger avec ses employés", explique l’un d’entre eux.
L’adjointe au maire note les revendications, avant de s’exprimer: "Je crois qu’il est important de renouer le dialogue face à ce malaise parce que, comme vous le dites, vous n’êtes pas seulement là pour gagner votre salaire mais travailler au sein de l’association dans l’intérêt de la population dionysienne".
Hajasoa Vololona Picard a annoncé qu’elle allait proposer de rencontrer le Conseil d’administration de l’ADEP.
Demain paralysie des activités à nouveau, "tant que la situation ne sera pas claire" explique l’un des salariés.