Qu'est-ce qu'une vie d'homme libre ? Ne nous resterait-il plus qu'à négocier la longueur de la chaîne à laquelle nous sommes attachés ? il ne tient qu'à nous de la rompre.
L'égalité entre les individus est la première des conditions à la liberté politique, empêchant toute forme de domination. Combien ont voulu repenser le système économique et le travail. Il ne tient qu'à l'homme, prisonnier de la société de consommation et du libéralisme, de repenser son mode d'organisation du travail : fin du travail salarié, organisation sous forme de coopératives, suppression de la quête de profit, disparition de la société de consommation, réalisation de l'homme à travers son activité économique, dont la limite avec le loisir est vouée à disparaître.
Ce que l'homme perd par le contrat social, c'est sa liberté naturelle et un droit illimité à tout ce qui le tente et qu'il peut atteindre, ce qu'il gagne, c'est la liberté civile et la propriété de tout ce qu'il possède. Alors qu’elle est donc cette liberté politique ( pouvoir, agir, circuler, s'exprimer librement etc ).
Quelque soit les droits que j'ai, la question de la liberté se pose à un autre niveau, celui de la liberté intérieure, celle qui nous pousse à agir ou de na pas agir. La liberté c’est choisir entre plusieurs possibilités, cela signifie être l'acteur de sa vie, c'est être la propre cause de ses actions. Cela implique d'avoir conscience de sa liberté et de ses choix. La liberté c’est également la liberté de ses mouvements (ni enfermé, ni emprisonné). L’Homme a cette faculté de se déterminer lui-même. Je peux faire ou ne pas faire sans être contraint.
Le seul facteur de mon choix, c'est donc ma volonté, c’est ce libre arbitre qui doit nous animer davantage. J’ai aussi le droit de manifester. Cette fameuse loi sur les retraites Interpelle sur beaucoup d’aspects et le consensus n’y est pas car les réponses apportées par nos gouvernants ne sont pas satisfaisantes pour un très grand nombre de Français.
Avec cette loi décriée sur les retraites, le Président Macron est arrivé à redorer le blason des syndicats et revigorer la Nupes par exemple. Héritiers des corps de l'Ancien Régime, il est important de rappeler que ces corps intermédiaires sont des groupes sociaux, situés à un niveau intermédiaire entre l'individu et l'État, indépendants et autonomes, constitués naturellement ou par accord délibéré en vue d'atteindre un objectif collectif (Syndicats, les partis politiques, les entreprises, les associations, les fédérations professionnelles, les institutions…).
L’une des difficultés de ces organisations, tient à l’évidence sur la question de leur représentativité qui offrent souvent un paysage assez divisé dans certains domaines. Même si les oppositions et les concurrences entre confédérations de syndicats de salariés sont bien connues, ne serait t-il pas venu le moment , également, de revoir la question de la représentativité des corps constitués par la puissance étatique ! Sortir du déni du rôle tenu par les corps intermédiaires dans la vie démocratique contemporaine Française semble être aujourd’hui nécessaire.
L'égalité entre les individus est la première des conditions à la liberté politique, empêchant toute forme de domination. Combien ont voulu repenser le système économique et le travail. Il ne tient qu'à l'homme, prisonnier de la société de consommation et du libéralisme, de repenser son mode d'organisation du travail : fin du travail salarié, organisation sous forme de coopératives, suppression de la quête de profit, disparition de la société de consommation, réalisation de l'homme à travers son activité économique, dont la limite avec le loisir est vouée à disparaître.
Ce que l'homme perd par le contrat social, c'est sa liberté naturelle et un droit illimité à tout ce qui le tente et qu'il peut atteindre, ce qu'il gagne, c'est la liberté civile et la propriété de tout ce qu'il possède. Alors qu’elle est donc cette liberté politique ( pouvoir, agir, circuler, s'exprimer librement etc ).
Quelque soit les droits que j'ai, la question de la liberté se pose à un autre niveau, celui de la liberté intérieure, celle qui nous pousse à agir ou de na pas agir. La liberté c’est choisir entre plusieurs possibilités, cela signifie être l'acteur de sa vie, c'est être la propre cause de ses actions. Cela implique d'avoir conscience de sa liberté et de ses choix. La liberté c’est également la liberté de ses mouvements (ni enfermé, ni emprisonné). L’Homme a cette faculté de se déterminer lui-même. Je peux faire ou ne pas faire sans être contraint.
Le seul facteur de mon choix, c'est donc ma volonté, c’est ce libre arbitre qui doit nous animer davantage. J’ai aussi le droit de manifester. Cette fameuse loi sur les retraites Interpelle sur beaucoup d’aspects et le consensus n’y est pas car les réponses apportées par nos gouvernants ne sont pas satisfaisantes pour un très grand nombre de Français.
Avec cette loi décriée sur les retraites, le Président Macron est arrivé à redorer le blason des syndicats et revigorer la Nupes par exemple. Héritiers des corps de l'Ancien Régime, il est important de rappeler que ces corps intermédiaires sont des groupes sociaux, situés à un niveau intermédiaire entre l'individu et l'État, indépendants et autonomes, constitués naturellement ou par accord délibéré en vue d'atteindre un objectif collectif (Syndicats, les partis politiques, les entreprises, les associations, les fédérations professionnelles, les institutions…).
L’une des difficultés de ces organisations, tient à l’évidence sur la question de leur représentativité qui offrent souvent un paysage assez divisé dans certains domaines. Même si les oppositions et les concurrences entre confédérations de syndicats de salariés sont bien connues, ne serait t-il pas venu le moment , également, de revoir la question de la représentativité des corps constitués par la puissance étatique ! Sortir du déni du rôle tenu par les corps intermédiaires dans la vie démocratique contemporaine Française semble être aujourd’hui nécessaire.