
Le préfet a décidé que les élections à la Chambre de Commerce se dérouleront du 4 au 17 mai prochains.
Par un arrêté du 4 mars, le secrétariat de la commission électorale - assuré conjointement par le greffe du tribunal de Commerce de Saint Denis et par la CCIR - était chargé de mettre ces listes à disposition du public afin de permettre I’inscription des nouveaux électeurs ou la modification d’informations concernant ceux déjà inscrits.
Or, à la suite de difficultés rencontrées par les ressortissants pour obtenir leur inscription, la préfecture a décidé que la liste arrêtée au 27 août dernier restait valable mais que les nouveaux électeurs pouvaient obtenir leur inscription auprès des services de la CCIR jusqu'au 25 mars à midi.
Entre-temps, les listes électorales étaient consultables sur internet.
C'est justement à l'occasion de la consultation de ces listes que Myriam Boullay s'est aperçue de la suppression des 1.850 sociétés appartenant à Bruno Cohen, sociétés qui lui garantissaient d'emporter les 9 sièges du collège Industrie. Soit un petit peu moins du tiers des sièges en lice.
Bizarrement, après vérification, il apparait que ce sont les seules sociétés radiées. Alors que selon Bruno Cohen, ses sociétés sont à jour et qu'il n'y a aucune raison qu'elles soient supprimées. Un recours est engagé.
Encore plus bizarre, d'autres sociétés qui elles ne devraient plus apparaître figurent toujours sur les listes électorales et leurs gérant(e)s pourront donc voter aux prochaines élections.
Par exemple, nous avons relevé la présence sur ces listes de la société du Relais des Pitons, un restaurant de la Plaine des Palmistes tenu par Mme Yvette Arzal, plus connue sous le prénom de Sophie, la femme de Pascal Plante, la tête de liste de la CPME et du MEDEF.
Or, nous publions ci-dessous l'attestation du nouveau propriétaire du restaurant certifiant qu'il a repris l'exploitation du snack depuis décembre dernier.
Et Mme Sophie Arzal est toujours inscrite sur les listes.
Cohen qui disparait sans raisons, Arzal qui aurait dû être radiée qui peut toujours voter... Bizarre, vous avez dit bizarre ?
Par un arrêté du 4 mars, le secrétariat de la commission électorale - assuré conjointement par le greffe du tribunal de Commerce de Saint Denis et par la CCIR - était chargé de mettre ces listes à disposition du public afin de permettre I’inscription des nouveaux électeurs ou la modification d’informations concernant ceux déjà inscrits.
Or, à la suite de difficultés rencontrées par les ressortissants pour obtenir leur inscription, la préfecture a décidé que la liste arrêtée au 27 août dernier restait valable mais que les nouveaux électeurs pouvaient obtenir leur inscription auprès des services de la CCIR jusqu'au 25 mars à midi.
Entre-temps, les listes électorales étaient consultables sur internet.
C'est justement à l'occasion de la consultation de ces listes que Myriam Boullay s'est aperçue de la suppression des 1.850 sociétés appartenant à Bruno Cohen, sociétés qui lui garantissaient d'emporter les 9 sièges du collège Industrie. Soit un petit peu moins du tiers des sièges en lice.
Bizarrement, après vérification, il apparait que ce sont les seules sociétés radiées. Alors que selon Bruno Cohen, ses sociétés sont à jour et qu'il n'y a aucune raison qu'elles soient supprimées. Un recours est engagé.
Encore plus bizarre, d'autres sociétés qui elles ne devraient plus apparaître figurent toujours sur les listes électorales et leurs gérant(e)s pourront donc voter aux prochaines élections.
Par exemple, nous avons relevé la présence sur ces listes de la société du Relais des Pitons, un restaurant de la Plaine des Palmistes tenu par Mme Yvette Arzal, plus connue sous le prénom de Sophie, la femme de Pascal Plante, la tête de liste de la CPME et du MEDEF.
Or, nous publions ci-dessous l'attestation du nouveau propriétaire du restaurant certifiant qu'il a repris l'exploitation du snack depuis décembre dernier.
Et Mme Sophie Arzal est toujours inscrite sur les listes.
Cohen qui disparait sans raisons, Arzal qui aurait dû être radiée qui peut toujours voter... Bizarre, vous avez dit bizarre ?