
J-H Boyer n’aurait-il pas appris la leçon ? La justice aurait-elle été inefficace ? C’est en tout cas ce qui semble ressortir de cette affaire. Condamné à un an de prison pour agression sexuelle sur une mineure, puis à 10 ans de réclusion criminelle pour viol sur sa compagne, il sort de détention le 11 septembre 2020. Et voilà que le 15 octobre 2020, soit un mois plus tard, sa nouvelle compagne porte plainte pour viol.
Ce mardi, son cas était examiné par la chambre de l’instruction. Sa demande de mise en liberté en attendant son procès ayant été rejetée, il a décidé de faire appel de cette décision. Sans surprise, il est maintenu derrière les barreaux.
C’est à Petite-Île que les gendarmes ont trouvé une femme "terrifiée", selon eux, retranchée dans les toilettes d’un laboratoire d’analyses. La quadragénaire, handicapée à 80%, raconte avoir accepté un rapport sexuel avec son petit-ami, J-H Boyer, mais suite à son changement d’avis, il l’aurait violée. Elle aurait prétexté avoir des analyses à faire pour qu’il l’emmène au laboratoire. Lui attendait dans sa voiture sur le parking.
Jaloux et possessif selon elle, l’accusé aurait forcé le rapport, ce que l’expertise médicale confirme. Mais pour la défense, il s’agit d’une "affaire particulière" avec des "jeux" au sein du couple. La supposée victime n’y serait pas pour rien, ayant pris contact avec le détenu alors qu’il était encore en prison. "Elle a tout fait pour entrer en contact avec lui", affirme l’avocat de la défense.
La femme se serait excusée d’avoir porté plainte et lui projetterait de se remettre en couple avec elle. La détention a donc été jugée préférable en attendant son procès aux Assises.
Ce mardi, son cas était examiné par la chambre de l’instruction. Sa demande de mise en liberté en attendant son procès ayant été rejetée, il a décidé de faire appel de cette décision. Sans surprise, il est maintenu derrière les barreaux.
C’est à Petite-Île que les gendarmes ont trouvé une femme "terrifiée", selon eux, retranchée dans les toilettes d’un laboratoire d’analyses. La quadragénaire, handicapée à 80%, raconte avoir accepté un rapport sexuel avec son petit-ami, J-H Boyer, mais suite à son changement d’avis, il l’aurait violée. Elle aurait prétexté avoir des analyses à faire pour qu’il l’emmène au laboratoire. Lui attendait dans sa voiture sur le parking.
Jaloux et possessif selon elle, l’accusé aurait forcé le rapport, ce que l’expertise médicale confirme. Mais pour la défense, il s’agit d’une "affaire particulière" avec des "jeux" au sein du couple. La supposée victime n’y serait pas pour rien, ayant pris contact avec le détenu alors qu’il était encore en prison. "Elle a tout fait pour entrer en contact avec lui", affirme l’avocat de la défense.
La femme se serait excusée d’avoir porté plainte et lui projetterait de se remettre en couple avec elle. La détention a donc été jugée préférable en attendant son procès aux Assises.