Alors que la Sogecore était en deuil puisque le jeune réunionnais Alexandre Henry Hoarau s’est suicidé sur son lieu de travail (…)
Le plaignant (…) était absent à la convocation du tribunal déléguant à son avocat grassement payé le soin de plaider pour lui… pour plainte en diffamation.
Le jeune Salim Moussajee qui avait été mis au tapis et humilié par le Sieur Amir Meralli Ballou voulait pour sa part plaider, témoigner, exprimer son indignation devant une quarantaine de citoyens venus le soutenir et devant les nombreux juges et avocats présent.
Mais ce droit élémentaire lui fut refusé.
Les juges ne dédaignèrent pas l’écouter, ils connaissaient l’affaire et donnerons suite le 10 avril dirent-ils…alors pourquoi l’avoir convoqué ? Pour l’humilier une fois de plus ? Mystère.
Quelle absence de sensibilité, d’humanité ? Une justice à deux vitesses ? Qui refuse sa mission première celle d’écouter pour se faire une idée des faits !
Les quarante amis se levèrent alors dans la dignité, le tribunal s’était subitement vidé et les officiels continuèrent leurs affaires entr’eux…
Avocats et juges, hommes de métiers, ainsi va la justice de notre pays…Ah oui ! Vous avez dit justice ?
Un observateur