
Hier au collège Leconte de Lisle de Saint-Louis, environ la moitié des enseignants était en grève à l'ouverture du collège (15 enseignants plus un conseiller principal d'éducation). Ils réclament un nouveau quota d'heures auprès du rectorat pour le recrutement de médiateurs d'éducation.
D'après nos informations auprès des enseignants, le collège a "perdu" cinq médiateurs d'éducation depuis le 1er mars, ce qui, selon eux, aurait un impact très négatif sur les conditions d'enseignement. Hier matin, les parents d'élèves se sont également mobilisés devant les grilles du collège et une délégation de six personnes, constituée d'enseignants et de parents, aurait été reçue par le principal de l'établissement.
Un peu plus tard dans la matinée, une vingtaine de parents d'élèves auraient tenté de pénétrer dans l'enceinte du collège pour "faire bouger les choses," selon les termes d'un des parents d'élèves présent sur place. Les gendarmes seraient intervenus mais l'ambiance n'a jamais dégénéré.
Les parents d'élèves pourraient éventuellement reconduire le mouvement aujourd'hui mais rien n'a encore été confirmé. Les enseignants grévistes ne devraient pas, quant à eux, poursuivre leur grève.
D'après nos informations auprès des enseignants, le collège a "perdu" cinq médiateurs d'éducation depuis le 1er mars, ce qui, selon eux, aurait un impact très négatif sur les conditions d'enseignement. Hier matin, les parents d'élèves se sont également mobilisés devant les grilles du collège et une délégation de six personnes, constituée d'enseignants et de parents, aurait été reçue par le principal de l'établissement.
Un peu plus tard dans la matinée, une vingtaine de parents d'élèves auraient tenté de pénétrer dans l'enceinte du collège pour "faire bouger les choses," selon les termes d'un des parents d'élèves présent sur place. Les gendarmes seraient intervenus mais l'ambiance n'a jamais dégénéré.
Les parents d'élèves pourraient éventuellement reconduire le mouvement aujourd'hui mais rien n'a encore été confirmé. Les enseignants grévistes ne devraient pas, quant à eux, poursuivre leur grève.