
L'ADIP est présentée à la Possession comme le "poil à gratter" de la municipalité (ou comme dirait l'ancien directeur de cabinet et de campagne de Roland Robert, l'ex camarade Lew, Roro et ses 40 valeurs).
Au delà des gesticulations de son président à travers ses nombreux courriers des lecteurs dans les journaux et sur ZINFOS 974, quel bilan peut-on tirer aujourd'hui de son action et de fait quelle crédibilité lui accordée?
1/ Sur le volet de l'urbanisme : cheval de bataille de l'ADIP
On ne compte plus le nombre de recours, de constats d'huissier, d'assignations... déposés par l'ADIP. Pour quel résultat ? Aucun, à chaque fois l'ADIP a été déboutée, rejetée . Au final, beaucoup de blabla, de spéculations à renfort de conférences de presse, pour rien, que nini, nada.
Quoique non, à chaque fois la Commune, donc vous et moi, doit se défendre et payer un avocat.
A se demander ce que fout la mairie de ne pas attaquer pour harcèlement et procédures abusives?
A moins que cela soit voulu pour ridiculiser le Fois et au passage faire de la publicité à Roro.
Toujours sur ce registre, souvenez vous de tout le cinéma de Fois accompagné de Miranville à la veille du jugement dans l'affaire Babef. Résultat relaxe général pour tout le monde. Le bec dans l'eau, ridicule.
Là aussi à se demander si ce n'est pas sa stupidité, sa haine aveugle pour Robert et les 40 autres, qui ont dû agacer les juges qui se sont dits que ça sent la manipulation politique d'où la relaxe générale.
Sur le volet foncier, urbanisme, pour l'instant "zoeuf calbasse", que du vent !
Mais voilà qu'il nous promet de croustillantes avec l'affaire "expropriation Souprayenmestry". D'abord comment peut-on se réjouir d'une telle affaire si elle devait aboutir réellement à une condamnation de la Commune? C'est nous qui allons payer ! C'est lamentable cette réaction.
Ensuite, sérieusement, vu les scoops de l'ADIP jusqu'à présent, je ne suis pas vraiment inquiet. C'est encore une tentative de manipulation de l'opinion publique à la veille d'une élection. Fois nous a habitué à ces "coups", de ces montagnes qui accouchent d'une souris, qui font Pschitt.
2/ Le deuxième cheval de bataille : la défense des possessionnais
Le dossier emblématique de l'ADIP : l'expulsion de Mme Lauret à Tamarin Sarda.
Le jugement a été rendu dans ce dossier , c'est tout simplement dramatique ! Jugez par vous même.
- Expulsion de Mme Lauret avec astreinte journalière
- Annulation du bail, donc aucun droit au relogement
- Prés de 10-000 € d'amendes
Et tout cela sur les conseils de qui vous savez. Mme Lauret va se retrouver à la rue avec 10 000 € d'amendes.
Mais pourquoi la Mairie ne rend pas publique cette décision?
D'après l'entourage de Roro, c'est un peu comme l'affaire de l'occupant du Plateau Festival lui aussi condamné à l'expulsion sur des conseils (mal) avisés, ce n'est pas porteur politiquement de "surfer" sur ces drames humains.
Bilan toujours de L'ADIP et qui concerne plus personnellement son président Fois.
La trésorerie municipale vient d'encaisser un chèque de plus de 15 000 € établi par Fois, suite à une décision rendue contre lui.
Il n'est pas capable de se défendre lui même et il veut conseiller les autres !
Voilà le bilan de l'ADIP et de son président Fois: Du vent et des drames pour les personnes conseillées .
Je mets au défi le président de l'ADIP de contester ces faits et j'en profite pour mettre en garde chacun d'entre vous, en vous rappelant cet adage : les conseillers ne sont jamais les payeurs.
Un homme averti en vaut deux. A bon entendeur
COURTEAUD Eustache
Un possessionnais exaspéré par l'utilisation de la détresse des gens
Au delà des gesticulations de son président à travers ses nombreux courriers des lecteurs dans les journaux et sur ZINFOS 974, quel bilan peut-on tirer aujourd'hui de son action et de fait quelle crédibilité lui accordée?
1/ Sur le volet de l'urbanisme : cheval de bataille de l'ADIP
On ne compte plus le nombre de recours, de constats d'huissier, d'assignations... déposés par l'ADIP. Pour quel résultat ? Aucun, à chaque fois l'ADIP a été déboutée, rejetée . Au final, beaucoup de blabla, de spéculations à renfort de conférences de presse, pour rien, que nini, nada.
Quoique non, à chaque fois la Commune, donc vous et moi, doit se défendre et payer un avocat.
A se demander ce que fout la mairie de ne pas attaquer pour harcèlement et procédures abusives?
A moins que cela soit voulu pour ridiculiser le Fois et au passage faire de la publicité à Roro.
Toujours sur ce registre, souvenez vous de tout le cinéma de Fois accompagné de Miranville à la veille du jugement dans l'affaire Babef. Résultat relaxe général pour tout le monde. Le bec dans l'eau, ridicule.
Là aussi à se demander si ce n'est pas sa stupidité, sa haine aveugle pour Robert et les 40 autres, qui ont dû agacer les juges qui se sont dits que ça sent la manipulation politique d'où la relaxe générale.
Sur le volet foncier, urbanisme, pour l'instant "zoeuf calbasse", que du vent !
Mais voilà qu'il nous promet de croustillantes avec l'affaire "expropriation Souprayenmestry". D'abord comment peut-on se réjouir d'une telle affaire si elle devait aboutir réellement à une condamnation de la Commune? C'est nous qui allons payer ! C'est lamentable cette réaction.
Ensuite, sérieusement, vu les scoops de l'ADIP jusqu'à présent, je ne suis pas vraiment inquiet. C'est encore une tentative de manipulation de l'opinion publique à la veille d'une élection. Fois nous a habitué à ces "coups", de ces montagnes qui accouchent d'une souris, qui font Pschitt.
2/ Le deuxième cheval de bataille : la défense des possessionnais
Le dossier emblématique de l'ADIP : l'expulsion de Mme Lauret à Tamarin Sarda.
Le jugement a été rendu dans ce dossier , c'est tout simplement dramatique ! Jugez par vous même.
- Expulsion de Mme Lauret avec astreinte journalière
- Annulation du bail, donc aucun droit au relogement
- Prés de 10-000 € d'amendes
Et tout cela sur les conseils de qui vous savez. Mme Lauret va se retrouver à la rue avec 10 000 € d'amendes.
Mais pourquoi la Mairie ne rend pas publique cette décision?
D'après l'entourage de Roro, c'est un peu comme l'affaire de l'occupant du Plateau Festival lui aussi condamné à l'expulsion sur des conseils (mal) avisés, ce n'est pas porteur politiquement de "surfer" sur ces drames humains.
Bilan toujours de L'ADIP et qui concerne plus personnellement son président Fois.
La trésorerie municipale vient d'encaisser un chèque de plus de 15 000 € établi par Fois, suite à une décision rendue contre lui.
Il n'est pas capable de se défendre lui même et il veut conseiller les autres !
Voilà le bilan de l'ADIP et de son président Fois: Du vent et des drames pour les personnes conseillées .
Je mets au défi le président de l'ADIP de contester ces faits et j'en profite pour mettre en garde chacun d'entre vous, en vous rappelant cet adage : les conseillers ne sont jamais les payeurs.
Un homme averti en vaut deux. A bon entendeur
COURTEAUD Eustache
Un possessionnais exaspéré par l'utilisation de la détresse des gens