Les récits pour le moins théâtraux du bâtonnier Georges-André Hoarau sont connus dans le milieu judiciaire. Mais dans cette affaire, l’accusé semble être un tel personnage que l’avocat n’aurait même pas eu besoin d'avoir recours à l’exagération.
G.L, est jugé devant la cour criminelle ce jeudi et vendredi pour le viol de sa belle-fille mineure à l’époque. Il enchaîne avec les relations amoureuses et sexuelles. Derrière lui, il laisse 7 femmes et 13 enfants. "Sept femmes, ça fait penser à Barbe Bleue. Il s’est montré violent et criminel, mais la littérature ne nous a pas appris qu’il s’en prenait aux enfants", déclare le bâtonnier.
En effet, G.L, 58 ans, est accusé par sa belle-fille de faits de viols entre 2004 et 2010. Des faits qui se seraient produits d’abord à Nantes puis à la Rivière Saint-Louis alors que la jeune fille avait entre 11 et 17 ans. Ce n’est qu’en février 2017 que la jeune femme dévoile les actes qu'elle a subis à sa mère. C'est lorsque le nouveau petit copain de sa sœur, jugé trop jeune, est critiqué par sa mère et son beau-père, qu'elle ose enfin s'exprimer...
"Il y a pire", aurait-elle affirmé avant de raconter ce qu’elle aurait subi.
G.L avait alors reconnu les faits, en indiquant que les rapports étaient consentis et que c’est elle qui l’avait "chauffé". Il l’aurait même qualifiée de "putain".
La mère de la partie civile compte aussi porter plainte pour viol
Ce jeudi, place aux témoins : une ex-copine de l’accusé ainsi qu’une de ses filles, l’ex-compagnon ainsi que la mère de la victime. Des témoignages, il ressort un homme alcoolique, violent, "manipulateur", "père absent" et "un homme à femmes". "Il ne venait à la maison que pour une chose avec ma mère, puis il repartait", raconte une de ses filles. La mère de la partie civile compte d’ailleurs, elle aussi, porter plainte pour viol.
Me Georges-André Hoarau évoque le "harem social sur fond d’alcool et d’alloc" de l’accusé, rappelant que ce n’était pas avec son RSA de 450 euros qu’il allait nourrir tous ses enfants. "Il était plus intéressé par l’alcool et les conquêtes sexuelles que le travail".
L'homme est jugé libre car placé sous contrôle judiciaire depuis sa mise en examen. "Il a reconnu les faits et n’a pas respecté, à deux reprises, les conditions du contrôle judiciaire mais est resté libre, relate le bâtonnier, il n’y a plus de place en prison ? Je suis confiant que la cour criminelle lui en trouvera une pour demain".
G.L, est jugé devant la cour criminelle ce jeudi et vendredi pour le viol de sa belle-fille mineure à l’époque. Il enchaîne avec les relations amoureuses et sexuelles. Derrière lui, il laisse 7 femmes et 13 enfants. "Sept femmes, ça fait penser à Barbe Bleue. Il s’est montré violent et criminel, mais la littérature ne nous a pas appris qu’il s’en prenait aux enfants", déclare le bâtonnier.
En effet, G.L, 58 ans, est accusé par sa belle-fille de faits de viols entre 2004 et 2010. Des faits qui se seraient produits d’abord à Nantes puis à la Rivière Saint-Louis alors que la jeune fille avait entre 11 et 17 ans. Ce n’est qu’en février 2017 que la jeune femme dévoile les actes qu'elle a subis à sa mère. C'est lorsque le nouveau petit copain de sa sœur, jugé trop jeune, est critiqué par sa mère et son beau-père, qu'elle ose enfin s'exprimer...
"Il y a pire", aurait-elle affirmé avant de raconter ce qu’elle aurait subi.
G.L avait alors reconnu les faits, en indiquant que les rapports étaient consentis et que c’est elle qui l’avait "chauffé". Il l’aurait même qualifiée de "putain".
La mère de la partie civile compte aussi porter plainte pour viol
Ce jeudi, place aux témoins : une ex-copine de l’accusé ainsi qu’une de ses filles, l’ex-compagnon ainsi que la mère de la victime. Des témoignages, il ressort un homme alcoolique, violent, "manipulateur", "père absent" et "un homme à femmes". "Il ne venait à la maison que pour une chose avec ma mère, puis il repartait", raconte une de ses filles. La mère de la partie civile compte d’ailleurs, elle aussi, porter plainte pour viol.
Me Georges-André Hoarau évoque le "harem social sur fond d’alcool et d’alloc" de l’accusé, rappelant que ce n’était pas avec son RSA de 450 euros qu’il allait nourrir tous ses enfants. "Il était plus intéressé par l’alcool et les conquêtes sexuelles que le travail".
L'homme est jugé libre car placé sous contrôle judiciaire depuis sa mise en examen. "Il a reconnu les faits et n’a pas respecté, à deux reprises, les conditions du contrôle judiciaire mais est resté libre, relate le bâtonnier, il n’y a plus de place en prison ? Je suis confiant que la cour criminelle lui en trouvera une pour demain".