C'est une fin d'année difficile pour deux ex-employés du Conseil général. Face à une vingtaine d'employés de l'Arast, qui attend elle aussi que le Département "respecte son engagement", Axel et Dominique sont assis sagement avec une bouteille d'eau comme seul ravitaillement depuis maintenant six jours. A côté d'eux, un panneau "Grève de la faim".
Les deux grévistes commencent à montrer des signes de fatigue mais disent garder le moral : "On veut entamer le dialogue avec la présidente". Soucieux de leur état de santé, deux médecins de la collectivité sont venus prendre leur tension et leur pouls. "J'ai une tension un peu forte" indique Axel d'une voix à peine audible. Ce dernier précise qu'il avait démissionné de son emploi précédent pour accéder au poste de technicien que proposait le Conseil général par le biais des offres d'emploi de la presse écrite.
"On ira jusqu'au bout" assure Dominique, père de famille, qui a travaillé pendant 10 ans pour le Conseil général et à qui on aurait promis un contrat de travail à durée indéterminée. Axel, qui a travaillé pendant trois ans pour la collectivité, assure lui aussi qu'on lui avait garantie sur parole son embauche définitive.
"Une indifférence du Conseil général"
La presse semble peut s'intéresser aux cas de Dominique et d'Axel, pour qui seul un représentant d'association s'est déplacé. Pour Dominique Romely, président de l'association pour le Développement de Saint-Paul, il s'agit "d'une indifférence du Conseil général" face au désespoir de ses deux ex-employés et appelle l'intersyndicale de la collectivité à se mobiliser.
Les grévistes espèrent instaurer le dialogue avec la présidente Nassimah Dindar, qui pour l'instant ne fait que les saluer lorsqu'elle passe dans le hall.
Les deux grévistes commencent à montrer des signes de fatigue mais disent garder le moral : "On veut entamer le dialogue avec la présidente". Soucieux de leur état de santé, deux médecins de la collectivité sont venus prendre leur tension et leur pouls. "J'ai une tension un peu forte" indique Axel d'une voix à peine audible. Ce dernier précise qu'il avait démissionné de son emploi précédent pour accéder au poste de technicien que proposait le Conseil général par le biais des offres d'emploi de la presse écrite.
"On ira jusqu'au bout" assure Dominique, père de famille, qui a travaillé pendant 10 ans pour le Conseil général et à qui on aurait promis un contrat de travail à durée indéterminée. Axel, qui a travaillé pendant trois ans pour la collectivité, assure lui aussi qu'on lui avait garantie sur parole son embauche définitive.
"Une indifférence du Conseil général"
La presse semble peut s'intéresser aux cas de Dominique et d'Axel, pour qui seul un représentant d'association s'est déplacé. Pour Dominique Romely, président de l'association pour le Développement de Saint-Paul, il s'agit "d'une indifférence du Conseil général" face au désespoir de ses deux ex-employés et appelle l'intersyndicale de la collectivité à se mobiliser.
Les grévistes espèrent instaurer le dialogue avec la présidente Nassimah Dindar, qui pour l'instant ne fait que les saluer lorsqu'elle passe dans le hall.