Il ressort de cette étude que le risque d'être hospitalisé à cause du Covid-19 est inférieur de 40% à 45% pour les personnes contaminées par le variant Omicron du coronavirus par rapport à celles infectées par le variant Delta.
"Dans l'ensemble, nous trouvons des preuves d'une réduction du risque d'hospitalisation pour Omicron par rapport aux infections provoquées par Delta, selon la moyenne sur l'ensemble des cas durant la période de l'étude", ont écrit les chercheurs dans le document.
Cette enquête se base sur les tests PCR positifs effectués en Angleterre entre le 1er et le 14 décembre.
En Afrique du Sud également
Parallèlement, une trentaine de chercheurs sud-africains de sept centres de recherches différents avaient publié mardi une pré-étude sur la nouvelle souche de Covid-19, sur le site scientifique medRXiv.
Ses conclusions sont particulièrement rassurantes, même si elles n'ont pas encore été été validées par la communauté scientifique : "Selon les données, le risque d'hospitalisation dues au variant Omicron serait cinq fois moins élevé qu'avec Delta", expliquent-ils.
Attention toutefois. Ils expliquent en même temps que ce risque moins élevé proviendrait avant tout de la "forte immunité de la population" en Afrique du Sud où une bonne partie des habitants ont déjà contracté la maladie.
"Dans l'ensemble, nous trouvons des preuves d'une réduction du risque d'hospitalisation pour Omicron par rapport aux infections provoquées par Delta, selon la moyenne sur l'ensemble des cas durant la période de l'étude", ont écrit les chercheurs dans le document.
Cette enquête se base sur les tests PCR positifs effectués en Angleterre entre le 1er et le 14 décembre.
En Afrique du Sud également
Parallèlement, une trentaine de chercheurs sud-africains de sept centres de recherches différents avaient publié mardi une pré-étude sur la nouvelle souche de Covid-19, sur le site scientifique medRXiv.
Ses conclusions sont particulièrement rassurantes, même si elles n'ont pas encore été été validées par la communauté scientifique : "Selon les données, le risque d'hospitalisation dues au variant Omicron serait cinq fois moins élevé qu'avec Delta", expliquent-ils.
Attention toutefois. Ils expliquent en même temps que ce risque moins élevé proviendrait avant tout de la "forte immunité de la population" en Afrique du Sud où une bonne partie des habitants ont déjà contracté la maladie.