Après Daniel Gonthier ce matin, les ténors de la droite se sont donné rendez-vous dans l’après-midi à Saint-Denis pour officialiser le ralliement du désormais ex-membre d’Europe Écologie Les Verts Jean-Alain Cadet comme suppléant de Nathalie Bassire dans la 3e circonscription. L’ancien responsable EELVR a par ailleurs annoncé son intention de rejoindre la majorité régionale.
Un ticket Bassire-Cadet dans la 3e circonscription rendu possible selon la candidate par la plateforme dont elle est issue, qui "rassemble différentes sensibilités politiques". "Sur la plateforme Objectif Réunion, nous travaillons avec la Gauche moderne de Louis-Bertrand Grondin, avec l’UDI, le centre, Les Républicains…C’est vraiment l’occasion d’entendre les électeurs, qui veulent nous voir travailler ensemble", argue Nathalie Bassire.
Un ticket Bassire-Cadet dans la 3e circonscription rendu possible selon la candidate par la plateforme dont elle est issue, qui "rassemble différentes sensibilités politiques". "Sur la plateforme Objectif Réunion, nous travaillons avec la Gauche moderne de Louis-Bertrand Grondin, avec l’UDI, le centre, Les Républicains…C’est vraiment l’occasion d’entendre les électeurs, qui veulent nous voir travailler ensemble", argue Nathalie Bassire.

Jean-Alain Cadet, lui, explique son ralliement à Nathalie Bassire par le fait que "les choses n’avancent pas" au Tampon. "Nous devons travailler ensemble pour proposer des projets qui permettent aux gens d’avoir du travail, qui permettent aux villes d’avoir un cadre de vie agréable et aux gens de ne plus subir la vie chère. C’est ça qui intéresse les Réunionnais et non les étiquettes", affirme-t-il.
L’emploi, "le nerf de la guerre"
Pour ces législatives, Nathalie Bassire compte axer son programme sur plusieurs thèmes, dont les principaux sont l’écologie, l’emploi, les familles ou encore l’éducation. "C’est un programme complet que l’on propose", indique Nathalie Bassire. Mais pour la conseillère régionale, l’emploi reste malgré tout "le nerf de la guerre" : "Quand on sort sur le terrain, nous avons ce mécontentement de la population, qui attend de nous que nous créons de l’emploi. Si je suis élue demain, je veux demander au gouvernement de baisser les charges des entreprises jusqu’à 15% à La Réunion car notre situation est particulière de par notre taux de chômage".
Pour Nathalie Bassire, il ne faut pas oublier "le vote sanction" des dernières élections présidentielles avec le score réalisé par le Front National. "Je suis convaincue qu’il y a un réel potentiel, il y a des compétences et des savoir-faire de Réunionnais qui sont engagés et qui croient en l’avenir. À ceux qui n’y croient plus, il faut aujourd’hui nous rassembler, comme nous l’avons fait avec Jean-Alain Cadet pour porter un projet réunionnais à l’Assemblée nationale", termine-t-elle.
L’emploi, "le nerf de la guerre"
Pour ces législatives, Nathalie Bassire compte axer son programme sur plusieurs thèmes, dont les principaux sont l’écologie, l’emploi, les familles ou encore l’éducation. "C’est un programme complet que l’on propose", indique Nathalie Bassire. Mais pour la conseillère régionale, l’emploi reste malgré tout "le nerf de la guerre" : "Quand on sort sur le terrain, nous avons ce mécontentement de la population, qui attend de nous que nous créons de l’emploi. Si je suis élue demain, je veux demander au gouvernement de baisser les charges des entreprises jusqu’à 15% à La Réunion car notre situation est particulière de par notre taux de chômage".
Pour Nathalie Bassire, il ne faut pas oublier "le vote sanction" des dernières élections présidentielles avec le score réalisé par le Front National. "Je suis convaincue qu’il y a un réel potentiel, il y a des compétences et des savoir-faire de Réunionnais qui sont engagés et qui croient en l’avenir. À ceux qui n’y croient plus, il faut aujourd’hui nous rassembler, comme nous l’avons fait avec Jean-Alain Cadet pour porter un projet réunionnais à l’Assemblée nationale", termine-t-elle.