Il n’en a pas fini avec ce contentieux. Le promoteur Thierry Robert devra probablement payer 300.000 euros de réparations pour la résidence Antony, cette résidence construite aux Avirons et qui n'avait pas respecté les règles du permis de construire.
S’il ne devrait être condamné que l’année prochaine, un expert judiciaire a d'ores et déjà déposé un rapport de "coût de remise en état" qui liste les problèmes d’assainissement, le besoin d’un nouvel escalier extérieur pour répondre aux normes de sécurité incendie et des malfaçons diverses à réparer pour répondre aux normes de sécurité.
Pour rappel, Thierry Robert a été condamné en septembre à verser aux acheteurs des appartements mis en vente dans la résidence pas moins de 550.000 euros d’indemnités. Une somme qu’ils n’ont toujours par vue, précise l’avocat de plusieurs d’entre eux, Me Francis Deffrennes. "Il (le promoteur, ndlr) ne conteste pas le fait d’avoir un patrimoine mais prétexte ne pas avoir la liquidité nécessaire", explique l'avocat des acheteurs qui ont eu gain de cause après un longue procédure judiciaire.
Me Deffrennes plaidera en décembre et pense gagner. Mais il est évident que les propriétaires de la résidence ne verront pas leur argent avant l’année prochaine. Idem pour les réparations.
S’il ne devrait être condamné que l’année prochaine, un expert judiciaire a d'ores et déjà déposé un rapport de "coût de remise en état" qui liste les problèmes d’assainissement, le besoin d’un nouvel escalier extérieur pour répondre aux normes de sécurité incendie et des malfaçons diverses à réparer pour répondre aux normes de sécurité.
Pour rappel, Thierry Robert a été condamné en septembre à verser aux acheteurs des appartements mis en vente dans la résidence pas moins de 550.000 euros d’indemnités. Une somme qu’ils n’ont toujours par vue, précise l’avocat de plusieurs d’entre eux, Me Francis Deffrennes. "Il (le promoteur, ndlr) ne conteste pas le fait d’avoir un patrimoine mais prétexte ne pas avoir la liquidité nécessaire", explique l'avocat des acheteurs qui ont eu gain de cause après un longue procédure judiciaire.
Me Deffrennes plaidera en décembre et pense gagner. Mais il est évident que les propriétaires de la résidence ne verront pas leur argent avant l’année prochaine. Idem pour les réparations.